J’ai toujours eu peur de ne pas trouver ma place dans le monde

J’ai toujours eu peur de ne pas trouver ma place dans le monde

J’ai toujours eu peur d’échouer et de ne pas trouver ma place dans le monde… J’ai l’impression que quoi que je fasse, personne n’est satisfait.

Que ce soit à l’école où mon comportement n’est pas top avec les surveillants et mes notes assez basses. Que ce soit avec mes “amis” où je me sens plus un poids qu’une bonne compagnie. Que ce soit à la maison où, des fois je ne respecte pas mes parents et où je me fais beaucoup critiquer sur mon physique et mon caractère. Et que ce soit avec moi-même, qui me punit, qui me trouve très peu de qualité et qui joue une double personnalité.

Avec tout ça, j’ai peur de ne jamais satisfaire quelqu’un ou de ne pas avoir d’avenir, de ne pas fonder une famille car personne ne pourrait m’aimer. De ne pas rendre mes parents fiers etc. J’ai peur, ça m’angoisse et me détruit peu à peu…  

Auteure : Basmala, 16 ans, Liège 

CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.

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Une douleur qui ne disparaitra jamais,

car je ne suis pas né comme je l’aimerais.

Mon corps me dégoute

et le vide se rajoute.

Les bandages me serrent

mon mâle être s’en sert.

Auteure : Nikita, 15 ans, Bruxelles

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Addict. Accro. Dépendante

Addict. Accro. Dépendante. Peu importe comment tu l’appelles, tu sais que ça sent pas bon. Ca évoque le chaos et les problèmes.

Je suis une addict, une éternelle accro et pour sûr dépendante à bien trop de choses. On pourrait d’abord parler de la dépendance affective, celle qui te fout une boule au ventre dès que tu t’attaches à quelqu’un·e. Tu sais que tu n’en sortiras pas indemne. Et l’autre personne non plus. Tu comprends dès la première seconde que ce vieux mécanisme ancré en toi va se reproduire, faire du mal et te rendra encore plus seule et désillusionnée que tu n’es déjà. On pourrait ensuite parler de la dépendance à toutes les choses qui font ou faisaient partie de mon quotidien, comme de celui de beaucoup de monde – comme le sexe, l’alcool, les cigarettes. Et puis les choses vitales, comme la nourriture par exemple. Pour couronner le tout et compléter le combo gagnant, BAM, jackpot, tu as les substances psychoactives qui te font voyager ou te renferment, qui t’anesthésient ou t’éveillent, te font réfléchir ou t’empêchent d’avoir la moindre pensée raisonnée.

La complexité de l’addiction pour moi est qu’elle se situe partout et tout le temps. Je mange tous les jours et chaque repas est une épreuve. Je me balade quotidiennement et je vois l’alcool partout, omniprésent, vanté et offert à chaque coin de rue. Je sens l’odeur de la cigarette sur chaque terrasse. Je tente de ressentir la tension sexuelle ambiante de manière quasi permanente. Je suis entourée de personnes qui aiment prendre quelques traces de coke le vendredi soir, une ou deux P le samedi soir et puis qui subissent des descentes aux enfers faramineuses dès le dimanche midi. Je ne vis pas dans une bulle, je suis confrontée à mes démons en permanence.

Je suis comme vide à l’intérieur. Je n’ai jamais réussi à expliquer pourquoi je ressens cela. Les différentes psychothérapies ont tenté d’y parvenir mais sans succès. J’ai donc cette image de moi depuis très longtemps d’une batterie vide qu’il faut constamment recharger, d’un récipient qu’il faut inlassablement remplir. Une cigarette fait l’affaire pour 10-15 minutes. Une bonne pizza peut me calmer pendant 2 à 3 heures. Un orgasme également. L’alcool, à l’époque, me permettait de tenir plusieurs heures en fonction de la quantité ingérée. Les autres drogues permettent de combler ce manque pendant des durées variables également. Parfois quelques minutes, parfois une nuit entière. Mais peu importe la quantité, la fréquence ou la dose, tu reviens toujours – toujours – à ce vide abyssal. Celui qui te ronge l’estomac, te donne envie de pleurer, de te réfugier dans les bras d’un inconnu, ou de te vider une bouteille de vin blanc. Ce cycle infernal est mon quotidien. Rassurez-vous, je m’apprivoise. J’ai appris des trucs et astuces pour contrôler mes pulsions de manque. Je suis fière de vivre sans alcool. Je suis fière de réussir à ne rien consommer, seule sous mon plaid regardant une énième série sur mon projecteur. Je suis fière de me réjouir lorsque une de mes plantes bourgeonne. Je suis heureuse de réussir à passer une soirée jeux de société et de me surprendre à aimer chaque minute de celle-ci. Une vie de mamy disent certains. Plutôt un semblant de tranquillité qui me pose et m’apaise.

J’ai l’impression – et je me déteste pour cette raison – d’avoir toujours été et par conséquent de m’être toujours considérée comme une victime. Victime de mon hyper-sensibilité, victime de mes gestes qui me trahissent, victime d’homophobie et de transphobie et victime de ces addictions. Combien de personnes m’ont dit qu’avec un peu de bonne volonté, j’arriverai à m’en sortir et que – je cite – j’avais tout pour être heureuse. Même si cela part probablement d’une bonne intention, ce n’est pas vrai. Blâmer les victimes ne sert à rien. Les rendre responsable de leurs addictions ou de leurs angoisses les fait plonger d’autant plus. Par contre, leur donner espoir, leur rappeler qu’iels ne sont pas seul·es, que la bonne volonté couplée à d’autres types d’aide peuvent leur permettre de passer d’une vie rythmée par les addictions à une vie plus sereine, plus heureuse et moins difficile.

Arrêtons de nous juger. Tentons de nous mettre à la place de personnes qui ne vivent pas la même chose que nous. Et si on n’y arrive pas, acceptons simplement que notre réalité n’est pas celle de notre voisin·e. Que chacun·e tente de s’en sortir, avec ses propres armes. Essayons-nous de nous écouter et de nous comprendre.

Auteur : Anna, 29 ans, Liège

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J’ai toujours eu peur de mon mal-être

J’ai toujours eu peur de mon mal-être. Peu importe ce que je fais, je n’arrive pas à le faire disparaître. C’est fatiguant, cette dépression, toujours là. C’est fatiguant de se noyer dans cette chose horrible et épuisante. Avoir l’estomac vide par peur de manger. Avoir l’air d’un zèbre affamé avec ces traits cicatrisés. Je souhaite que tout ira mieux. Je souhaite pouvoir enfin être heureux, même avec cette peur malsaine qui tourne sans cesse dans ma tête.

Auteur : Andréa, 13 ans, Liège

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Mon enfer, c’est moi!

Mon enfer, c’est moi!

Je sens une chaleur, une chaleur inhabituelle.

Mes yeux s’ouvrent. Je suis dans une pièce. Une pièce noire. Noire comme la nuit sans étoiles, ni lune pour m’éclairer. Suis-je seule ?

« Excusez-moi, où suis-je ? » ? Aucune réponse. Je m’avance et ressens encore plus cette chaleur. Je vois au loin une flamme. Enfin… je pensais qu’il n’y en avait qu’une. Je me retrouve entourée de flammes. Quel est cet endroit ?

Je m’avance encore. Je vois un énorme trou. Je me retourne, pour faire demi-tour mais je ne vois plus de chemin. Les flammes se sont éteintes. Je suis donc obligée de sauter.

J’ai peur, très peur. Mais je n’ai pas le choix. Je dois sauter !

Je ferme mes yeux et atterris devant un miroir où je me vois. Mais ce n’est pas mon reflet actuel. Je me vois me juger, me critiquer. Me toucher comme si j’étais un déchet. Avec un air de dégoût.

Je ne comprends pas ce que je fais là !

Un papier m’apparaît. Sur celui-ci est noté : « Bienvenue dans ton propre enfer ».

Je me sens donc de plus en plus mal. Je ne sais pas ce qu’il va m’arriver.

Soudain, j’entends ma voix au loin qui m’appelle et me dit : « Assia, Assia, réveille-toi ! »

Au bout de 10 répétitions, mes yeux se décident enfin à s’ouvrir.

J’ai compris alors que j’étais mon propre enfer depuis toutes ces années.

Auteure : Assia, 18 ans, Bruxelles

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