Poison

Poison

Le vrai bonheur, c’est de ne pas avoir à s’en préoccuper. Se laisser bercer par ses désirs et se laisser vivre. L’esprit ainsi vidé de son dédale de pensées incessantes, peut s’occuper de choses moins préoccupantes. Quel bonheur de n’avoir qu’à aimer, rêver et respirer, sans devoir se demander comment survivre, réussir, avancer, s’extirper de ce quotidien amer et incertain.

L’insouciance, ce poison enchanté qui nous permet d’oublier le temps d’un instant que notre vie ne se résume pas qu’à apprécier ce que la vie nous offre mais ne tarde pas à enlever.

Auteure : Chaïma, 26 ans, Bruxelles

CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.

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Ma rue en noir et blanc … Ma vie en vert

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Si ce n’est pas facile pour tout le monde, c’est parfois beaucoup plus compliqué encore pour certain·e·s. Medhi nous partage un bout de trottoir et un morceau de vie. Pour lui, se projeter, cela définit bien les rêves et sa façon d’aborder les situations qu’il peut rencontrer.

La famille

Ma mère ne s’occupait pas de moi et mon père était truand, fiché au grand banditisme. Il est mort d’une overdose en prison quand j’avais 7 ans. Il a fini attaché à son lit d’hôpital, en légume. Le pire, c’est qu’il est décédé le lendemain de la signature de ses papiers de libération. À partir de ce moment, je ne suis plus l’école et je suis sous la tutelle d’un juge de la jeunesse. À l’époque, j’étais un garçon avec beaucoup de colère, je détruisais tout ce que j’essayais de construire. J’ai découvert ma première drogue, à 14 ans, avec mes potes. Faut dire que j’avais commencé tôt : en troisième primaire, avec deux camarades du quartier, je fumais ma première clope.

La rue

Ma mère a fini par me mettre à la porte. À 17 ans, j’étais à la rue, sans rêve, sans objectif, seul, avec juste un sac à dos contenant quelques vêtements. Je me suis alors mis à chercher un job et c’est ce qui m’a permis de me projeter, de rêver à nouveau, de rester optimiste. Malgré la rue, je suis resté concentré sur ces objectifs. C’est à ce moment-là que j’ai décidé de ne pas répéter les mêmes erreurs que mon père et que j’ai commencé à travailler dans l’HORECA. Cela m’a permis de quitter la rue, celle que j’aimais plus que tout. Honnêtement, cela m’a forgé et grâce à ces étapes, je relativise facilement. Quoiqu’il arrive, je me dis “bosse, fais-toi des tunes”, et c’est reparti. Cette phrase est la mienne, car à la rue, si tu n’es pas prêt à te démerder pour aller plus loin, tu meurs simplement de froid. J’ai eu mon premier appartement, mes potes, mes premiers voyages. Bref, une vie d’adulte à laquelle je n’étais pas forcément destiné. Le voyage m’a permis de me projeter dans une vie future. J’ai réalisé que moi qui avais tant erré dans les rues de Bruxelles, j’aimais la nature par-dessus tout.

Construire

Aujourd’hui, j’ai une vie paisible, avec mes propres rêves, mon désir de construire une maison autonome en “terre-paille”, mon envie d’y vivre avec mes plantes et de continuer à me battre.

Auteur : Medhi, 21 ans, Bruxelles

Cet article a été produit lors d’un atelier Scan-R

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Le retour des frontières

Le retour des frontières

Originaire d’Alsace, région de France frontalière de l’Allemagne et de la Suisse, pour Anna, la possibilité de traverser les frontières de manière quotidienne et d’avoir un mode de vie transfrontalier et hypermobile semblait acquise et parfaitement naturelle. Durant son année universitaire en Erasmus, elle a usé et abusé de cette possibilité ! En train, en bus, en covoiturage, en avion… toute l’Europe était pratiquement à portée de main sur un week-end ! Tout allait bien jusqu’à …

L’avenir ?

L’avenir, je l’imaginais déjà quelque part entre les frontières françaises, belges, luxembourgeoises, allemandes, suisses, italiennes … Je voyais un terrain de jeux, sur lequel je pourrais travailler et / ou vivre d’un côté ou de l’autre comme je l’entendais. Comme vous pouvez l’imaginer, le « grain de sable Corona » a bien chamboulé ma vie ! Fraichement diplômée de l’école d’architecture de Lille, Bruxelles me semblait l’endroit idéal pour avoir accès à des opportunités professionnelles intéressantes, tout en ayant la possibilité de garder des contacts étroits avec mon cercle d’ami·e·s de Lille, de multiplier les allers-retours même en semaine s’il le fallait. Bien avant que tout cela commence, bien loin d’imaginer que nous vivrions une crise sanitaire d’une telle ampleur, j’ai donc emménagé à Bruxelles avec mon copain.

Bruxelles

Bruxelles, la fausse bonne idée et je m’en suis mordue les doigts… D’une part, vivre cette situation angoissante coupée de mes ami·e·s et de ma famille. D’autre part, ne pas avoir la possibilité de découvrir mon nouveau lieu de vie ou de me créer un nouveau réseau de connaissances a été très difficile. Heureusement, je n’étais pas seule ! À Bruxelles, j’ai eu la chance de trouver un emploi, de le commencer en présentiel, d’y retrouver une amie d’enfance qui y faisait ses études. Mais j’avais la sensation qu’à chaque fois qu’un semblant de vie sociale se mettait en place, tout se coupait net au gré des mesures sanitaires. Je me sentais véritablement assignée à résidence.
À l’approche de la date d’anniversaire du confinement, ma situation personnelle à Bruxelles et la gestion de mes angoisses s’améliorent. Cependant, les conséquences du coronavirus, la durée de cette crise sanitaire et le peu de certitudes que nous avons vis-à-vis de ce virus laissent des traces et de sérieux doutes … Et si nous ne connaissions plus jamais une telle liberté de mouvements ? Et s’il n’était plus possible de voyager aussi facilement ? Et s’il fallait, obligatoirement, s’enraciner quelque part ? Ne choisir qu’un lieu unique où vivre et travailler ?

Tout est flou

Toutes les projections sur mon avenir et mon futur mode de vie s’effondrent. Jusque-là, mes convictions étaient intactes. Moi, l’europhile convaincue, j’en viens à douter de la pertinence de l’UE ! Alors que je doute de tout, il me semble devoir faire des choix déterminants pour mon avenir à long terme : quel lieu me correspond ? Quelle entreprise me correspond ? Qu’est-ce qui a du sens pour moi ? Qu’est-ce que j’aime faire ? Bien loin d’avoir la réponse à toutes ces questions, la crise sanitaire aura peut-être déclenché une remise en question généralisée accélérée.

Auteure : Anna, 25 ans, Schaerbeek

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Trouver sa voie dans le monde

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Louis à 20 ans. En 2019, il a obtenu son certificat d’enseignement secondaire supérieur. Après, il s’est lancé dans une première année d’étude dans le supérieur et en informatique. Peu intéressé par les cours, lassé par ces études, il a cherché une nouvelle voie.

S’orienter

Au final, je suis désintéressé par l’informatique et je ne me vois pas du tout passer mes journées derrière un PC. Même si, déjà durant mes secondaires, je suivais l’option informatique pendant mes secondaires, je réalise que cela ne m’intéresse plus et je commence à chercher de l’emploi. Je postule pour tout et n’importe quoi du genre Colruyt, magasinier, vendeur, apiculteur, pompier, militaire etc. Conscient que j’étais en train de me perdre, je passe plusieurs entretiens d’orientations. Je réalise que je ne suis pas vraiment prêt pour le monde de l’emploi et que je dois plutôt reprendre des études. Par ailleurs, j’étais assez démotivé et je ressentais une perte de confiance en moi qui m’empêchait de reprendre directement des études. C’est là que j’ai découvert le Service citoyen (1). Je suis allé à la journée porte ouverte de ce service et je savais déjà que j’allais m’engager pour découvrir où cela allait me mener et franchement, je suis assez satisfait.

Travailler

À travers ma mission de vendeur aux Petits Riens (2) d’Ixelles, j’ai pu comprendre ce qu’était le monde du travail. Grâce à cela, j’ai pu avoir une autre occupation que les jeux vidéo et les animes japonais. Avec la crise du covid-19 ma mission principale a été interrompue. J’ai donc ensuite choisi de travailler pour la Croix-Rouge afin de les aider à gérer la distribution de repas pour les bénéficiaires et veiller à ce que ceux-ci soient bien informés. Avant et après chaque distribution il y a un brief et un debrief en équipe. Le premier sert à répartir les tâches : la gestion de la file, de la cantine, la distribution de masques … Ensuite, à la fin de chaque distribution, on débriefe ensemble. On s’assure que tout le personnel n’a eu aucun problème et on fait le point. Tout le monde a le droit à la parole et chacun est écouté afin d’améliorer des choses. Il y a un grand esprit d’équipe et la communication est très présente.

La route sera encore longue

J’ai trouvé une occupation afin d’améliorer le quotidien de personnes dans le besoin et j’en suis satisfait. Par contre, cela ne m’éclaire pas vraiment pour un métier car je manque un peu de courage pour me lancer dans quelque chose. Et puis, excepté le français, j’ai des lacunes en langues. Je suis passé de inquiet à indifférent, donc autant s’occuper et trouver des gens sympas comme le personnel de la Croix-Rouge. Naturellement, comme je me suis engagé auprès des Petites Riens, j’y retournerai afin de terminer ma mission principale. Le service-citoyen est un moyen pour moi de m’occuper pendant mes journées et de gagner un peu d’expérience pratique. Je ne me vois pas travailler dans l’informatique suite à cela et j’espère trouver un métier qui n’a d’ailleurs pas de liens avec ça et qui me plaira !

(1) Le Service Citoyen propose aux jeunes de 18 et 25 ans de vivre une expérience enrichissante, constructive et valorisante. Durant six mois, les participant·e·s suivent petites et grandes formations et réalisent une mission au sein d’une association.
(2) L’ASBL Les Petits Riens a été créée en 1937 par Édouard Froidure, résistant, militant et prêtre catholique. Elle a pour mission de lutter contre l’exclusion sociale et la pauvreté. Pour y arriver, elle collecte, trie et vend vêtements et objets. Cela permet de proposer un travail à des personnes pas forcément qualifiées et de financer des actions contre la pauvreté, l’exclusion sociale.

Auteur : Louis, 20 ans, Bruxelles

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