Vivre sans survivre

Vivre sans survivre

J’aimerais réapprendre à vivre. Pour moi, la différence entre vivre et survivre dans ce contexte est que vivre tu le fais avec plaisir, tu te lèves chaque matin avec envie de commencer une nouvelle journée. Tandis que quand on survit, on se bat contre nous-même, pour arriver à sortir de ce lit, car on ne trouve plus de raison à la vie.

J’aimerais retrouver une raison de me lever le matin et commencer une nouvelle journée. J’aimerais être capable de vouloir continuer d’exister et ne pas vouloir disparaître à chaque instant. Me dire que la vie vaut la peine d’être vécue. Me dire qu’il y a trop de bonnes choses que je raterais si j’arrêtais de survivre. J’aimerais pouvoir enfin dire « j’ai survécu et aujourd’hui je vis vraiment. Je suis une survivante et tout ça c’est derrière moi ». On dit souvent que notre pire ennemi c’est soi-même, je n’ai connu de phrase aussi vraie, je n’ai vécu de phrase aussi vraie.

Vivre, on le fait étant enfant mais, parfois, on perd cela en cours de route et on se met à se battre contre soi-même pour survivre. L’être humain n’est pas que bon, il est aussi très mauvais, par moment, mais le pire est quand cette part de « ténèbres » se déverse contre sa propre personne. Se vouloir du mal, c’est survivre.

Auteure : Marie, 17 ans, Jodoigne

CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.

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Le boulot…

Le boulot…

Je ris toujours face à l’épuisement de la journée avec mes collègues… je suis éducatrice spécialisée avec des adolescentes dans le secteur de l’aide à la jeunesse. Nous faisons souvent de grosses journées, des nuits, des weekends… à quoi bon se plaindre de la fatigue, de subir nos journées ou des moments compliqués que nous pouvons rencontrer.

Autant en rigoler, décompresser ensemble nous qui sommes dans le même merdier. Echanger, se conseiller… « Il vaut mieux en rire qu’en pleurer » comme on dit. Dans notre métier, on rigole beaucoup même s’il nous arrive aussi de pleurer, nous aimons, nous râlons, nous rencontrons. Il est important de choisir un métier qui nous permettent de se sentir vivant. Je me sens vivre.

Auteure : Camille, 25 ans, Namur

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Poison

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Le vrai bonheur, c’est de ne pas avoir à s’en préoccuper. Se laisser bercer par ses désirs et se laisser vivre. L’esprit ainsi vidé de son dédale de pensées incessantes, peut s’occuper de choses moins préoccupantes. Quel bonheur de n’avoir qu’à aimer, rêver et respirer, sans devoir se demander comment survivre, réussir, avancer, s’extirper de ce quotidien amer et incertain.

L’insouciance, ce poison enchanté qui nous permet d’oublier le temps d’un instant que notre vie ne se résume pas qu’à apprécier ce que la vie nous offre mais ne tarde pas à enlever.

Auteure : Chaïma, 26 ans, Bruxelles

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Ma rue en noir et blanc … Ma vie en vert

Ma rue en noir et blanc … Ma vie en vert

Si ce n’est pas facile pour tout le monde, c’est parfois beaucoup plus compliqué encore pour certain·e·s. Medhi nous partage un bout de trottoir et un morceau de vie. Pour lui, se projeter, cela définit bien les rêves et sa façon d’aborder les situations qu’il peut rencontrer.

La famille

Ma mère ne s’occupait pas de moi et mon père était truand, fiché au grand banditisme. Il est mort d’une overdose en prison quand j’avais 7 ans. Il a fini attaché à son lit d’hôpital, en légume. Le pire, c’est qu’il est décédé le lendemain de la signature de ses papiers de libération. À partir de ce moment, je ne suis plus l’école et je suis sous la tutelle d’un juge de la jeunesse. À l’époque, j’étais un garçon avec beaucoup de colère, je détruisais tout ce que j’essayais de construire. J’ai découvert ma première drogue, à 14 ans, avec mes potes. Faut dire que j’avais commencé tôt : en troisième primaire, avec deux camarades du quartier, je fumais ma première clope.

La rue

Ma mère a fini par me mettre à la porte. À 17 ans, j’étais à la rue, sans rêve, sans objectif, seul, avec juste un sac à dos contenant quelques vêtements. Je me suis alors mis à chercher un job et c’est ce qui m’a permis de me projeter, de rêver à nouveau, de rester optimiste. Malgré la rue, je suis resté concentré sur ces objectifs. C’est à ce moment-là que j’ai décidé de ne pas répéter les mêmes erreurs que mon père et que j’ai commencé à travailler dans l’HORECA. Cela m’a permis de quitter la rue, celle que j’aimais plus que tout. Honnêtement, cela m’a forgé et grâce à ces étapes, je relativise facilement. Quoiqu’il arrive, je me dis “bosse, fais-toi des tunes”, et c’est reparti. Cette phrase est la mienne, car à la rue, si tu n’es pas prêt à te démerder pour aller plus loin, tu meurs simplement de froid. J’ai eu mon premier appartement, mes potes, mes premiers voyages. Bref, une vie d’adulte à laquelle je n’étais pas forcément destiné. Le voyage m’a permis de me projeter dans une vie future. J’ai réalisé que moi qui avais tant erré dans les rues de Bruxelles, j’aimais la nature par-dessus tout.

Construire

Aujourd’hui, j’ai une vie paisible, avec mes propres rêves, mon désir de construire une maison autonome en “terre-paille”, mon envie d’y vivre avec mes plantes et de continuer à me battre.

Auteur : Medhi, 21 ans, Bruxelles

Cet article a été produit lors d’un atelier Scan-R

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Le retour des frontières

Le retour des frontières

Originaire d’Alsace, région de France frontalière de l’Allemagne et de la Suisse, pour Anna, la possibilité de traverser les frontières de manière quotidienne et d’avoir un mode de vie transfrontalier et hypermobile semblait acquise et parfaitement naturelle. Durant son année universitaire en Erasmus, elle a usé et abusé de cette possibilité ! En train, en bus, en covoiturage, en avion… toute l’Europe était pratiquement à portée de main sur un week-end ! Tout allait bien jusqu’à …

L’avenir ?

L’avenir, je l’imaginais déjà quelque part entre les frontières françaises, belges, luxembourgeoises, allemandes, suisses, italiennes … Je voyais un terrain de jeux, sur lequel je pourrais travailler et / ou vivre d’un côté ou de l’autre comme je l’entendais. Comme vous pouvez l’imaginer, le « grain de sable Corona » a bien chamboulé ma vie ! Fraichement diplômée de l’école d’architecture de Lille, Bruxelles me semblait l’endroit idéal pour avoir accès à des opportunités professionnelles intéressantes, tout en ayant la possibilité de garder des contacts étroits avec mon cercle d’ami·e·s de Lille, de multiplier les allers-retours même en semaine s’il le fallait. Bien avant que tout cela commence, bien loin d’imaginer que nous vivrions une crise sanitaire d’une telle ampleur, j’ai donc emménagé à Bruxelles avec mon copain.

Bruxelles

Bruxelles, la fausse bonne idée et je m’en suis mordue les doigts… D’une part, vivre cette situation angoissante coupée de mes ami·e·s et de ma famille. D’autre part, ne pas avoir la possibilité de découvrir mon nouveau lieu de vie ou de me créer un nouveau réseau de connaissances a été très difficile. Heureusement, je n’étais pas seule ! À Bruxelles, j’ai eu la chance de trouver un emploi, de le commencer en présentiel, d’y retrouver une amie d’enfance qui y faisait ses études. Mais j’avais la sensation qu’à chaque fois qu’un semblant de vie sociale se mettait en place, tout se coupait net au gré des mesures sanitaires. Je me sentais véritablement assignée à résidence.
À l’approche de la date d’anniversaire du confinement, ma situation personnelle à Bruxelles et la gestion de mes angoisses s’améliorent. Cependant, les conséquences du coronavirus, la durée de cette crise sanitaire et le peu de certitudes que nous avons vis-à-vis de ce virus laissent des traces et de sérieux doutes … Et si nous ne connaissions plus jamais une telle liberté de mouvements ? Et s’il n’était plus possible de voyager aussi facilement ? Et s’il fallait, obligatoirement, s’enraciner quelque part ? Ne choisir qu’un lieu unique où vivre et travailler ?

Tout est flou

Toutes les projections sur mon avenir et mon futur mode de vie s’effondrent. Jusque-là, mes convictions étaient intactes. Moi, l’europhile convaincue, j’en viens à douter de la pertinence de l’UE ! Alors que je doute de tout, il me semble devoir faire des choix déterminants pour mon avenir à long terme : quel lieu me correspond ? Quelle entreprise me correspond ? Qu’est-ce qui a du sens pour moi ? Qu’est-ce que j’aime faire ? Bien loin d’avoir la réponse à toutes ces questions, la crise sanitaire aura peut-être déclenché une remise en question généralisée accélérée.

Auteure : Anna, 25 ans, Schaerbeek

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