J’écris sur la migration

J’écris sur la migration

Aujourd’hui, j’écris. J’écris sur la migration car nous avons une activité et un témoignage à ce sujet. Et ça m’a choqué. Ça m’a choqué de voir le parcours par lequel ils doivent passer pour avoir une vie un peu meilleure. Et encore, vu comment on les traite mal dans certains pays qui sont censés les aider, je ne pense pas qu’on puisse toujours parler de meilleure vie.

Ils ont le courage de quitter leurs vies et tout ce qu’ils ont construit sans savoir où ils vont ni quand ils retrouveront de la stabilité. Ils veulent simplement une meilleure vie mais ils doivent se battre pour celle-ci simplement parce qu’ils ne sont pas nés dans le « bon pays ».

Alors, je pense qu’on devrait faire quelque chose pour faciliter leurs parcours ou au moins leurs arrivée. Qu’il y ait plus d’aide pour eux car ils le méritent. Ils méritent qu’on les aide à améliorer leurs vies.

S’ils quittent la misère, ce n’est pas pour en retrouver tout le long de leurs parcours et encore à leurs arrivée dans leur nouveau pays.

Auteure : Emelyne, 19 ans, Bruxelles

CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.

Retrouvez ce récit et d’autres dans notre dossier thématique

Il n’y a pas d’âge pour se rendre compte de sa transidentité

Il n’y a pas d’âge pour se rendre compte de sa transidentité

Je suis transgenre. Je ne me sens pas à l’aise dans le corps dans lequel je suis né. Je m’en suis rendu compte quand j’avais 11 ans. On me dit souvent que je ne suis pas un vrai transgenre car je ne me suis pas toujours senti comme un garçon. Mais il n’y a pas d’âge pour se rendre compte de sa transidentité, et on dit souvent que faire partie de la communauté LGBTQIA+ est un est effet de mode ou une phase. On se cherche juste, que ce soit dans le genre, la sexualité ou le romantisme.

En tant que garçon transgenre, ça m’arrive d’aimer les choses féminines. Ça m’arrive de porter des robes ou des jupes, de ne pas mettre de maquillage, même si ça me donne énormément de dysphorie. Mais, il n’y a rien de grave à ça. Comme le fait que certaines personnes transgenres ne veuillent pas faire certaines opérations à leur parties intimes, ou iels ne veulent pas faire de transition, tout simplement. C’est à eux de choisir. C’est leur corps.

Pour finir, j’ai un conseil à donner à toutes les personnes qui font partie de la communauté LGBTQIA+ : n’ayez jamais honte de qui vous êtes, de votre questionnement de genre, sexualité ou romantisme. N’ayez pas honte des étapes de transition que vous voulez ou ne voulez pas faire. Soyez juste qui vous êtes.

Et bonne chance à toutes les personnes qui vont faire leur coming out. Ainsi qu’aux personnes qui vont réaliser des étapes de transition (ou pas).

A écouter aussi en podcast ici

Auteur : Andréa, 13 ans, Liège

CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.

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Vous ne devez jamais abandonner.

Pourquoi tout le monde a droit de s’épanouir, à rêver grand, être heureux tout simplement, et pas vous ?

C’est vrai, lorsque les difficultés arrivent, que nos repères disparaissent, la tendance est de se faire une raison, de continuer à avancer mais dans une autre direction et oublier ses objectifs.

Mais les difficultés sont-elles vraiment des motifs d’abandon ?

Un enfant qui apprend à marcher et qui rate plusieurs fois en tombant sur ses fesses se dit-il : « ce n’est pas fait pour moi, je laisserai mes parents s’occuper de moi toute ma vie et cela fera l’affaire » ?

Non ! La détermination est innée, instinctive. L’enfant commence petit à petit. Jour après jour. Semaine après semaine à comprendre que s’il arrive à se lever, de nouvelles opportunités viendront à lui. Un nouveau monde.

Si vous pensez que vous méritez plus, ne lâchez pas. Plus vous continuez, plus vous êtes déterminés, plus vous aurez une meilleure compréhension de votre objectif, de votre combat et plus d’autonomie personnelle vous aurez.

N’abandonnez pas votre instinct, votre enfant intérieur. Ne restez pas au sol. Aidez-le à marcher et explorer le monde.

Auteur : Marcus, 29 ans, Liège (Origine: Espagne)

CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.

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Parents ou copain, j’ai dû choisir.

Parents ou copain, j’ai dû choisir.

Il y a des questions et des réponses terribles qui peuvent bouleverser une vie, changer la trajectoire d’une personne. Daphné nous emmène dans les difficiles traces de ses pas.

L’impossible choix

À la base, mes parents sont contre la relation que j’entretiens avec mon copain et ce qui est dramatique, c’est que j’ai dû choisir. J’ai choisi mon gars plutôt que mes parents. Maintenant, il est trop tard pour revenir en arrière, pour retourner dans le passé. Si c’était possible, je le ferais, je resterais plutôt avec mes parents… Les parents on sait qu’on les a pour la vie, le chéri on sait que ça peut changer. Pour le moment, je me fais aider pour essayer de retourner vers mes parents. J’ai l’impression que j’ai tout perdu. La seule solution que je vois pour le moment, c’est de terminer là ma relation avec mon copain pour retrouver mon père et ma mère.

L’amour hypnotise…

Dans un premier temps, cela fera mal. Après ce temps, ça ira mieux car j’aurai retrouvé mes parents et je n’aurai plus à subir la violence de mon copain. Il faut que j’en parle à quelqu’un pour que cette personne me fasse comprendre que je ne dois pas rester avec lui. Le truc, c’est que je suis amoureuse et que je ne veux rien entendre. Je suis aidée par le SAJ (Service d’Aide à la Jeunesse) et je suis maintenant à l’internat. Cela m’assure que je ne le vois plus mais j’aurais aimé comprendre tout cela sans nécessairement passer par la case internat.

M’en sortir !

Je crois qu’aujourd’hui, il est malheureusement trop tard pour retrouver mes parents. Ceci dit, le principal, c’est que dans ma tête je me dis que je suis capable de m’en sortir et honnêtement, je ne pense pas que voir des psys me serve à quelque chose même si je ne suis pas du tout à l’aise. Quand je sens le besoin de parler, j’écris en écoutant de la musique et ça me fait du bien de m’écrire, de me parler à moi-même pour que personne ne sache mes souffrances car j’ai peur de me faire juger.

Auteure : Daphné, 15 ans, Liège

Cet article a été écrit lors d’un atelier Scan-R de la Caravane des assises de la jeunesse.

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Sidra est Syrienne. Il y a quelques années déjà, avec sa famille, elle est arrivée en Belgique. Elle accorde une très grande importance et le tout se passe plutôt très bien mais il y a un problème, quand elle angoisse, quand elle est dans une situation de stress, elle bégaye.

Un stress sans fin

J’aimerais vous parler de la réussite scolaire. Pourquoi ? Parce que j’ai envie de réussir mes années d’école et que c’est quelque chose de très important pour moi. Quand j’étais en 6ème primaire, on avait souvent des projets oraux à l’école. Je ne voulais pas y participer : je bégaye. C’est un problème important pour moi. J’adore lire mais si je dois le faire devant le tableau en classe, je bégaye. Alors, je ne veux pas lire devant tout le monde. C’est la même chose lorsque je dois traduire quelque chose pour mes parents. Nous sommes Syriens et mes parents ne parlent pas bien français alors, souvent, je les aide. Mais je bégaye si je dois le faire devant quelqu’un·e d’important·e ou que je ne connais pas. Parfois, quand j’entends mes parents au téléphone avec leur patron par exemple, et que je sais qu’ils vont avoir besoin de moi pour parler à leur place, je m’en vais. Je pars dans une autre pièce pour éviter de devoir traduire ce qu’ils ne comprennent pas. En gros, je sais que je vais stresser et bégayer. Ce qui m’ennuie, c’est que les gens pensent que je ne parle pas correctement le français, que je cherche mes mots pour m’exprimer, alors qu’en fait c’est un problème de bégaiement. Moi, je sais que je parle bien le français et j’aimerais que les gens le sachent.

Réussir

C’est pour ça aussi que c’est important pour moi de bien travailler à l’école et de réussir. J’aime l’école. Je fais mes devoirs, je travaille bien et j’étudie quand il le faut, car je n’aime pas rater. Quand je me réveille pour aller à l’école, je me dis ‘Pourquoi je raterais ?’. Si je me fatigue tout au long de l’année, ce n’est pas pour devoir recommencer. Lors de la première période de cette année scolaire, j’avais de bons résultats, des 90%. Mes parents étaient contents et fiers de moi. Puis pendant la deuxième période, mes points ont beaucoup diminué. J’ai eu plusieurs échecs. Mais je me suis dit que je ne raterais pas mon année. Je savais que j’étais capable de mieux travailler, alors j’ai commencé à étudier de plus en plus. J’ai fait ce que les profs demandaient. Maintenant, mes points sont remontés. Et je suis fière de moi.

Travailler maintenant pour pouvoir choisir

Ma motivation, c’est de rester dans l’enseignement général, pour pouvoir faire le métier que je veux plus tard. Je ne suis pas encore certaine de ce que j’ai envie de faire, mais je voudrais peut-être travailler dans le domaine de la santé. Parfois, je vais avec ma maman à l’hôpital pour traduire et l’aider à comprendre ce que les médecins lui disent, vu qu’elle ne parle pas bien le français. L’hôpital ne me fait pas peur. J’aime bien voir comment les médecins travaillent et s’adressent aux gens. Je ne sais pas pourquoi mais ça me plaît beaucoup. Ce n’est pas un métier facile, si je veux travailler dans ce domaine, je dois réussir à l’école, puis dans mes études. Être docteure, ça me plairait beaucoup, car c’est un métier stressant mais il faut pouvoir rester calme. Ça tombe bien, je suis quelqu’un de calme. En travaillant, tout est possible, on peut faire ce dont on rêve. Il faut travailler et ne pas se dire « J’ai la flemme », ce n’est pas comme ça qu’on réussit.

Auteure : Sidra, 14 ans, Schaerbeek

Cet article a été écrit lors d’un atelier Scan-R

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