Des problèmes dérisoires

Des problèmes dérisoires

« Tu dois pas stresser pour ça, quand tu seras adulte tu auras de plus gros problèmes à gérer ».

Cette phrase m’énerve car elle minimise les soucis qu’une personne peut avoir sous prétexte qu’elle devra être confronté à des problèmes plus compliqués dans sa vie future. Même si ce sera peut-être le cas, je ne pense pas qu’il est nécessaire de dire ça.

Cette phrase est souvent dite par les parents car ils ont une volonté d’endurcir un enfant et de les préparer à la vie d’adulte.  Mais ils ont tendance à oublier qu’on y est pas encore et qu’à cet instant t, l’enfant a juste besoin de soutien. Et cela, même si ses soucis sont dérisoires par rapport aux problèmes auxquels il sera confronté dans un futur plus ou moins proche.

Auteure : Marie, 25 ans, Liège

CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.

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Mes amis

Mes amis

Personnellement, les personnes les plus importantes dans ma vie sont mes amis, les plus proches sont toujours disponibles pour moi à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit et moi, de même, pour eux.

Malheureusement, j’ai rencontré certaines personnes que j’ai pu considérer comme des amis mais qui m’ont trahi, blessé. Je ne le regrette pas, tout cela m’a permis de grandir et d’évoluer.

Heureusement, les plus importants, les vrais amis sont toujours là; même si j’ai fait des erreurs, ils sont restés; pour ça, je les remercie beaucoup et je tiens à dire que je serai toujours là pour eux également.

Auteure : Elsa, 17 ans, Saint-Servais

Cet article a été produit lors d’un atelier Scan-R.

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Que serais-je devenue sans Nala, mon chat ?

Que serais-je devenue sans Nala, mon chat ?

Nala, avant de décider de la prendre, deux options s’offraient à moi :

1) j’écoutais mon cœur, donc je la prenais, 2) j’écoutais ma raison, donc je ne la prenais pas.

J’ai écouté mon cœur et j’ai bien fait car Nala a changé ma vie, elle était là aux moments les plus bas de ma vie, c’est elle qui m’a fait rester là. Elle est toujours là pour moi, je ne sais pas ce que je serais devenue sans elle, peut-être plus là on ne saura pas. Nala m’attend tous les jours en rentrant de l’école. Quand je suis triste, elle est là. Quand je pleure, elle est là …Elle est mon soleil, ma lumière qui m’a fait sortir de l’ombre. Mon rayon de soleil. Nala a une relation avec moi son maître, comme un chien, très attachée à moi, comme moi à elle. Nala est l’être vivant qui m’a redonné goût à la vie, à devenir une meilleure version de moi.

Message : Il y a toujours quelqu’un qui est là pour toi et va venir dans ta vie, quand tu en auras le plus besoin. Crois en toi et en tes rêves.

Auteure : Emma, 15 ans, Nivelles

Cet article a été produit lors d’un atelier Scan-R.

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La vraie Coupe

La vraie Coupe

Chère Belgique,

Cela fait bientôt 27 ans que je te connais, tu es comme un frère pour moi, voire plus… comme un toit, comme une sécurité, comme une fierté. Tu m’as fait découvrir de nombreuses choses, des passions, du travail, de l’argent, tout comme la difficulté, la colère, la haine et l’école. Mais tu m’as surtout appris à les différencier et à voir les choses du bon côté.

Tu m’as rendu malheureux quand la France t’a battu 1-0 en demi-finale de la Coupe du monde de 2018. Et j’avais honte de la défaite en quart de finale, face au Pays de Galles en 2016. Je perds espoir et commence à croire que tu ne me rendras jamais heureux dans le foot.

Malgré tes nombreux défauts, je te vois comme quelqu’un de bienveillant, toujours à vouloir aider les autres en difficulté et ça, ça vaut presque une Coupe du monde.

Auteur : Costa, 26 ans, Bruxelles

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Parler à un psy est encore tabou

Parler à un psy est encore tabou

Avoir des problèmes, le reconnaitre, essayer de trouver des solutions … C’est pas forcément simple. Accepter de l’aide d’un professionnel, c’est parfois compliqué aussi. Au bout du compte, l’expérience de Thomas est concluante !

Consulter un psy

Dire qu’on parle à un psy est encore tabou, surtout quand on est jeune. C’est difficile d’admettre qu’on a besoin de quelqu’un d’extérieur pour résoudre les “problèmes” ou les difficultés qu’on traverse. Pour moi, décider d’aller voir un psy a été un peu comme un aveu de faiblesse voire une honte. C’est d’ailleurs pour ça que beaucoup de gens que je côtoie ne savent même pas que j’ai eu cette période “compliquée” et encore moins que je suis allé chez un psychologue. Même mes parents ignorent toujours que je suis allé consulter un psychologue.

Je suis pas bien

Au départ, je suis un garçon qui manque un peu de confiance en lui et qui a un peu des difficultés à faire confiance aux autres. Longtemps j’ai réussi à cacher ce mal être. Les choses se sont compliquées quand j’ai rencontré une personne à qui j’ai accordé de l’importance et je n’aurai pas dû. Je n’ai pas envie de rentrer plus dans les détails mais après, plus rien n’a été pareil pour moi pendant plusieurs semaines, plusieurs mois.
Un mal-être profond m’a rongé jusqu’à provoquer des crises de panique, des vomissements, une perte de poids… Au début, on se dit toujours qu’avec le temps, tout finit par s’arranger mais la réalité est tout autre.

Blessé

Une blessure psychique, mentale ne peut que s’aggraver si on essaye de l’enfouir au plus profond de soi. On m’a envoyé faire une prise de sang, on m’a fait des échographies de mon tube digestif, on m’a prescrit des médicaments en pensant que mon problème était d’ordre physique. Je m’obstinais à me persuader que c’était le cas. Je n’arrivais même pas à être honnête envers moi-même alors comment l’être envers les autres ? Ma maman a fini par comprendre que le mal n’était pas physique et enfin, on a parlé. Je n’ai pas même pas eu l’honnêteté de lui expliquer mes problèmes. J’ai tout mis sur le dos des difficultés, des cours, des choix à faire … Elle a donc eu l’idée de me prendre un rendez-vous avec quelqu’un chez qui j’aurai le droit de m’exprimer, de parler de mes craintes et du reste.

J’ai rendez-vous avec un psy

Me rendant à ce fameux rendez-vous, je n’étais même pas sûr de vouloir partager ces choses avec cet inconnu. Au début de la séance, on a commencé par parler de l’école mais très vite, il a compris que ce n’était pas la source de mes soucis. Il m’a cerné et de là, on a commencé à parler, j’ai enfin pu vider mon sac sans me sentir jugé. À un moment, j’ai craqué, j’ai fini par pleurer, j’ai tout fait pour me retenir mais impossible d’y arriver. Toutes ces semaines à emmagasiner des choses négatives ont fait qu’il a été impossible pour moi de contenir mes larmes. À la fin de la séance, je ne m’étais jamais senti aussi bien, cela faisait un moment que ça ne m’était pas arrivé. Certes tout n’a pas été réglé comme par magie mais j’avais enfin pris le bon chemin. Celui que j’appellerai le chemin de l’acceptation. J’ai accepté mes failles et mes faiblesses, accepté le fait que j’avais besoin de quelqu’un, accepté le fait que je devais me remettre en question. Accepté le fait que pour être heureux, je devais faire face à mes problèmes.

Le mal, ça se soigne

Tout cela pour dire qu’il n’y a aucun tabou à avoir besoin d’un psy, que vous avez le droit de parler de vos problèmes. On pense parfois qu’on est assez fort seul mais c’est souvent faux. Sans ma mère, jamais je n’aurai été ce fameux psy. Et je n’ai aucune idée de comment j’aurais fait sans lui. Bref, n’ayez aucune honte, si vous pensez en avoir besoin, allez-y. Une blessure de l’âme sera à terme bien plus grave qu’on ne le pense.

Auteur : Thomas, 15 ans, Tournai 

Cet article a été écrit lors d’un atelier Scan-R de la Caravane des assises de la jeunesse.

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