La famille est un pilier pour soi ?

La famille est un pilier pour soi ?

La famille est-elle un pilier pour soi ? Est-elle utile pour son développement personnel ? Pour moi, je pense qu’elle participe à la construction comme à la déconstruction de son image, de sa personnalité.

Je pense qu’elle est présente aux moments forts, aux épreuves et aux difficultés mais peut te laisser tomber lorsque tout à l’air d’aller bien.

Ayant une vision de la famille détruite tôt, il est difficile pour moi d’y voir quelque chose de stable et puissant comme un pilier.

La famille, c’est comme des partenaires de vie que nous n’avons pas choisis. Ils seront là pour le meilleur comme pour le pire.

Les plus anciens d’entre eux te diront : « Ne fait pas ci, tu le regretteras ». Ou bien : « Fais ça, tu t’en souviendras ». Ils veulent t’aiguiller et quand ils s’en vont, tu finis juste déstabilisé sans ce pilier.

Auteure : Axelle, 21 ans, Mons

CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.

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Un corbeau dans la cour

Un corbeau dans la cour

Est-ce qu’un éducateur n’est pas une triste vision ? Après tout, quand tout va bien, on ne les voit pas. Et je parle de chaque travailleur social. Ce sont des oiseaux de mauvais augure, leur présence signifie le passage de malheur.

En fait, peut-être que pour le privilège et le pouvoir, qui ne connaissent pas les difficultés, l’éducateur est invisible.

L’empathie de l’homme est liée à son vécu. Il ne reconnait souvent que les besoins qu’il a déjà ressentis. Ceux qui n’ont jamais été en mal de repères ne se demandent pas ce qui arrive à ceux qui n’en ont pas. Peut-être ces gens pensent que travailler dans le social, c’est à la portée de chacun.

Je ne suis pas éducateur mais j’ai été chef scout. Quand une jeune fille d’une dizaine d’année passait un trajet dans les bois à me raconter le jour où elle a retrouvé le corps de sa mère… j’étais démuni. Être une oreille, une présence réconfortante, c’est déjà énorme, je le sais bien. Mais qui peut penser que chacun est prêt à accueillir ce genre de souffrance ?

J’ai été frère de suicidaire, amant de dépressive. Qui peut affirmer pouvoir aider et accompagner ceux qui ont tant besoin d’aide !? Il y a trop de souffrance dans ce pauvre monde. On ne peut la supporter qu’en se relayant la charge.

Alors, merci à tout le secteur social.

Votre présence restera toujours, non pas un signe de malheur, mais une source de répit et de soulagement.

Puisse le pouvoir se rendre compte de votre nécessité.

A écouter aussi en podcast ici

Auteur : Anonyme, 27 ans, Mons

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Le monde sur pause

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Lorsque je suis seule, je me sens bien. Mais que signifie « se sentir bien » ?

Pour moi, ça signifie « se retrouver avec soi-même, relâcher la pression, ne penser à rien, se sentir bien quoi ». Pour moi qui suis HPI, c’est un besoin. Un besoin de déconnecter mon cerveau de temps en temps, de regarder une émission débile ou de jouer à Candy Crush. Oui, ces moment-là peuvent paraitre banals ou « chiants » pour certains, mais pour moi, c’est un soulagement, un havre de paix, un moment rien qu’à moi pour ne penser à rien. C’est un petit moment d’égarement pour me permettre de mettre sur pause le monde qui m’entoure.

Mon entourage ne le comprend pas. Ils ne peuvent pas, ils n’en ont pas autant besoin. Tous les jours, je reçois des « Faudrait que tu te bouges » ou « T’en a pas marre de t’enfermer dans ta chambre ? ». Eh bien non, non je n’en ai pas marre, j’en ai juste besoin.

Alors vous qui avez déjà entendu ces phrases à répétitions, vous qui avez un cerveau qui fonctionne à 1000 à l’heure, ou vous qui avez besoin de plus de temps que les autres, prenez-le ! Ne vous laissez pas déborder par les pensées ou la fatigue et surtout, prenez le temps de vous sentir bien.

Auteure : Sophie, 22 ans, Mons

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Besoin de joie ?

Besoin de joie ?

Privilégier des moments qui procurent joie et bonheur, oui, ces idées sont importantes à mes yeux.

Je suis incapable de définir telle ou telle amitié, sans de vrais liens qui puissent se créer.

Décrivons des aventures. Ces aventures de joies incompréhensibles. Il faut partager. Même en solo, on n’est pas tout seul dans la tête.

Jouer aux cartes, sans comprendre les règles. Boire un verre, ou deux, ou trois. Ecouter un concert, en se bousculant au premier venu. Se promener vers des chemins foireux.

Non, ces situations ne sont pas nécessaires à la société. Ce qui est nécessaire, c’est avoir un toit, manger à sa faim et s’évader, en étant prêt à être déçu.

Mais, à la question : « Faut-il privilégier la joie et le bonheur dans nos vies ? », pour être franc, je n’ai pas de réelle réponse à pondre. Ce sont des sensations qui sont indépendantes de moi. Chacun recherche et ressent les plaisirs à sa manière, de manière voulue comme involontaire.

Auteur : Bruno, 27 ans, Liège

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La pauvreté selon Mahy

La pauvreté selon Mahy

Lors d’un atelier avec la Rédaction Jeunes de Scan-R, deux jeunes lisent un article citant Christine Mahy. La militante fut interviewée par le journaliste Nicolas Lahaut. Quel est le but de l’activité ? Réagir aux propos de la membre du Réseau wallon de lutte contre la pauvreté.

(Pas) essentiel, Emma, 22 ans, Liège

« Commencer à être pauvre. Comment peut-on vivre en sachant ça ? Sur le plan politique, je ne saisis pas qu’on n’en fasse pas une priorité absolue ». Je suis totalement d’accord avec cette phrase de Christine Mahy (ndr : publiée dans le magazine Wilfried).

J’ai parfois l’impression que, même si tout tourne autour de l’argent dans ce monde, c’est plutôt celui de la classe « supérieure » qui compte plutôt que celui du tout-venant.

On fait plus de blablas sur les droits de succession ou sur la taxation des plus riches, que de nombreuses voix jugent intolérables, plutôt que sur la hausse des prix des biens essentiels.

Mais pourquoi garder les yeux clos sur tous ceux qui galèrent chaque mois pour s’acheter ne serait-ce qu’un pain ou un paquet de pâtes ?

Est-ce parce qu’on ne verra (pratiquement) jamais un SDF aux urnes tandis que ceux plus aisés, eux, y iront bien plus facilement, ne serait-ce en trainant les pieds et en râlant ?

La pauvreté tue la créativité ?, Romane, 22 ans, Liège

Est-ce que la pauvreté tuerait la créativité ?

Ne serait-il pas plus juste de contredire ce propos en suggérant ce contraire ? La créativité ne serait-elle pas un moyen de sortir, le temps d’un instant et de manière symbolique de cet état de pauvreté ? La créativité ne serait-elle pas un atout pour lutter contre la pauvreté ?

Lorsqu’une maman explique à son enfant, qu’aujourd’hui, ils ne sauront se nourrir que d’un petit morceau de pain, en rétorquant que c’est pour s’entraîner à Koh-Lanta, ne serait-ce pas de la créativité ? Lorsqu’une simple pièce humide devient, le temps d’un instant, un bateau de pirate aux yeux de son enfant, ne peut-on pas parler de créativité ?

Est-ce qu’après tout, il ne faut pas être créatif pour trouver des solutions dans des situations parfois insurmontables ?

Auteures : Emma, Romane

CES PETITS AVIS ONT ÉTÉ PRODUITS LORS DE DIFFERENTS ATELIERS SCAN-R.

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