« We are the World » : le phénomène intemporel

« We are the World » : le phénomène intemporel

La chanson « We are the World » a été écrite par Lionel Richie et Michael Jackson en 1985. Elle a été interprétée par les chanteurs et chanteuses les plus connus à l’époque, aujourd’hui, considérés comme des légendes. Nous avons par exemple, Bob Dylan, Tina Turner, Michael Jackson évidemment, Stevie Wonder, Diana Ross, Steve Perry et beaucoup d’autres.

Cette chanson avait pour but de lutter contre la famine en Ethiopie. Ainsi, 47 stars se sont réunies pour la même cause et sous un même nom : « USA for Africa ». Aujourd’hui encore, ce titre résonne et fait écho pour des milliers de personnes.

Personnellement, cette chanson m’inspire. Je ne connaissais rien de son histoire, ni des voix qui ont rendu ce titre culte avant ce week-end, alors que je regardais son documentaire sur Netflix. Et je m’y suis intéressée, j’ai fait des recherches sur les artistes, de façon individuelle. J’ai été impressionnée par la notoriété et par la puissance de ces légendes. On est sûr qu’eux, on les écoute.

Je conseille ce phénomène à tout le monde, c’est pour l’Afrique que cette chanson existe et elle mérite d’être entendue.

Auteure : Romane, 16 ans, Liège

CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.

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Le 20 janvier 2023, le groupe italien Måneskin sort son quatrième album. Le premier depuis leur victoire à l’Eurovision. Il est sorti durant leur tournée mondiale, ce qui leur a permis de faire découvrir leurs nouveaux morceaux au grand public en direct. Il n’y a rien à dire, le groupe cartonne partout où il passe. Pourtant leur style glam rock/pop rock avec une touche de hard rock n’était plus rien dans les oreilles des jeunes qui préfèrent une musique plus électronique et moins élaborée.

Même s’ils sont devenus célèbres, ils sont toujours émerveillés lorsqu’ils sont en présence des plus grands, tels les Rolling Stones ou bien encore les Red Hot Chili Peppers. Malgré le fait que leur style soit plus ancien, les sujets abordés dans leurs chansons sont quant à eux plus d’actualité. Prenons par exemple « Gasoline », une musique qui dénonce l’exploitation absurde du pétrole ou encore « Supermodel », l’histoire d’un jeune homme absorbé par le monde des écrans, des médias et qui ne profitent peut-être pas assez de la vie. On a d’ailleurs pu remarquer que ce mélange de joie de la jeunesse, associé avec un style un peu dépassé, a donné une sorte de vague dans les nouvelles générations. Celles-ci retournent vers une musique plus ancienne et savent qu’être rockeur en 2024 redonne de l’espoir à plein de jeunes musiciens qui espèrent faire carrière.

Auteur : Alexandre, 16 ans, Liège

Cet article a été écrit lors d’un atelier Scan-R à distance

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Cela va faire cinq ans que je suis scolarisé à Liège 1. Cinq années durant lesquelles je me suis inscrit à moult activités extrascolaires. Le club d’échec, de grec, de la communauté européenne, de programmation informatique et le club OPRL. De tous ceux-ci, je ne suis resté profondément fidèle qu’au dernier.
Le club OPRL est, comme son nom l’indique (Orchestre Philarmonique Royal de Liège), un rassemblement de mélomanes qui se rendent au moins bimensuellement au conservatoire pour y écouter de la musique, classique d’ordinaire.

Oui, mais justement, une fois n’est pas coutume, il ne s’agissait pas de musique classique ce jour-là. Je vais en effet vous raconter ma rencontre avec le groupe Tamala.
Lors d’une de nos réunions hebdomadaires avec le club, nous apprîmes, mes condisciples et moi, que nous allions assister à un concert un peu spécial. Oh non, pas de musique classique, romantique ou baroque cette fois, mais bien de la musique dite « du monde ». Il s’avéra que le conservatoire se voyait accueillir le groupe Tamala pour quelques soirées et que notre professeur avait réussi à nous obtenir suffisamment de places pour nous y emmener tous. Nous eûmes donc droit à un petit cours d’introduction sur le groupe que nous allions voir. Celui-ci était composé de Bao Sissoko à la kora, accompagné de Mola Sylla aux vocalises et de Wouter Vandenabeele au violon. Les deux premiers sont des griots sénégalais, des sortes de chamans, des dépositaires de la tradition orale de leur village, qui sont, depuis la naissance, entrainés à chanter et jouer selon des pratiques antiques. Le dernier est, je l’ai dit, violoniste et flamand, comme vous l’aurez deviné. Somme toute, un mélange de musiciens un peu hétéroclite au premier coup d’œil.

Bao Sissoko jouait donc de la kora. La kora, pour ceux qui ne connaitraient pas, c’est tout bonnement incroyable ! Il s’agit là d’un mélange entre une harpe, un tam-tam et un luth, un instrument mélodieux qui accompagne et accueille les autres sonorités, mais qui ne craint pas de s’imposer et de prendre le dessus avec son harmonie enchanteresse au moment venu.
Le jour du concert arrivé, des divers extraits écoutés en classe en préparation de la représentation, il ne me restait que quelques airs tronqués, insuffisants pour appréhender l’ampleur de ce à quoi nous allions assister. Les entendre c’est une chose, les voir, c’en est une autre !
Une fois que nous fûmes confortablement installés à nos sièges, une certaine Hélène Sechehaye, musicologue, nous présenta le spectacle. Elle nous expliqua en quoi consiste la fonction de griot, nous décrivit les instruments que nous devinions à grand-peine du fait de la pénombre et introduisit les artistes avec difficulté. Effectivement, ça n’était pas gagné… expliquer comment un violoniste de formation classique, mais reconverti au folk allait accompagner nos musiciens griots, ça n’était guère évident. Néanmoins, elle y parvint et nous eûmes une idée, certes floue, mais une idée tout de même de ce qui nous attendait.

La présentation terminée, le concert commença. L’on nous plongea dans l’obscurité en nous rappelant d’éteindre nos téléphones et de ne pas prendre de photos la séance durant. Soudain, la scène s’illumina. Nos quatre esthètes s’avancèrent, prirent places et instruments et commencèrent à jouer. Dès les premières notes, le public se transforma en véritable métronome, hochant la tête ou le buste de droite à gauche ou frappant silencieusement du pied au rythme de la musique. Dur de rester immobile face à ces sonorités entraînantes ! Alors on s’abandonne à la mesure, en ayant soin de ne pas gêner nos voisins, évidemment.
Chaque fin de morceau laissait place à Wouter Vandenabeele pour présenter un des interprètes ainsi que l’extrait suivant.
Bao Sissoko abandonna sa kora au profit d’une calebasse située à l’arrière, marquant la cadence au moyen de cette gigantesque caisse de résonance.
Mola Sylla, lorsqu’il avait les mains libres de son xalam (un luth traditionnel africain) et les poumons de ses chants, attrapait un de ses instruments « faits-main », et y soufflait, l’agitait ou le frappait suivant l’utilisation qu’il lui avait attribuée. Parmi ceux-ci, une calebasse montée sur un bâton portant une corde solitaire. C’est un violon, nous explique Wouter Vandenabeele. Mola aurait dénigré celui de Wouter en prétendant qu’il ne s’agissait que de quelques vulgaires cordes reliées à du bois creux, il aurait ensuite contrefait l’instrument avec les moyens du bord et se serait arrêté à une unique corde.

Ces trois amis sont liés comme les doigts de la main, et ça se voit ! Enfin… cela s’entend plutôt.
Il n’est pas rare que le groupe s’adonne à des improvisations, nous avait-on dit. Effectivement, une certaine sincérité primesautière, un naturel spontané émanait de leurs gestes, leurs mouvements, leur musique. Des associations de mots fort poétiques et abstraites, me direz-vous, mais qui témoignent de la difficulté d’exprimer cette liberté instinctive, liberté qui n’est pas présente dans nos mœurs musicales.
Il s’agit là du point fort de Tamala et de la musique du monde en général. Ce dépaysement tant auditif que visuel, cette ouverture culturelle, qui, à n’en point douter, nous change des symphonies et concerti auxquels nous sommes habitués.
Ces quelques notes exotiques auront égayé le répertoire traditionnel, mais non moins charmant, de cette année. Ce fut un très beau spectacle pour entamer ce programme !

Auteur : Gilles, 16 ans, Liège

Cet article a été écrit lors d’un atelier Scan-R à distance

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LES PETITS AVIS, EPISODE 61

LES PETITS AVIS, EPISODE 61

Dès le départ, Scan-R essaye de valoriser la parole de chacune et de chacun ! Parmi les textes que nous recevons, certains sont trop brefs pour faire l’objet d’un post, nous les rassemblons donc dans un seul article sobrement intitulé “Les Petits Avis”.

Faut pas lâcher, Anonyme, 16 ans, Bruxelles

J’écoute beaucoup Lomepal, Nekfeu. Leurs textes m’inspirent beaucoup car ils parlent de beaucoup de choses comme la dépression, la scarification, le manque de confiance en soi, etc. donc je me sens comprise et ça me permet de me dire que je ne suis pas la seule à vivre ça.

Quand on vit la dépression, le mal-être est tellement intense que tu n’arrives pas à te dire que quelqu’un peut comprendre, même mettre des mots sur la dépression, ce n’est pas facile donc entendre quelqu’un qui parle de ça, c’est réconfortant.

Donc voilà, croyez en vos rêves. Quand on est déterminé à les vivre, on y arrive même si parfois c’est compliqué, bah faut pas lâcher !

La chance, Anonyme, 15 ans, Bruxelles

Vivre en Belgique, c’est une chance que tout le monde ne se rend pas compte d’avoir. Il y a des enfants qui vivent dans pays pauvres, en Europe ou en dehors, et qui rêvent de rejoindre des pays comme la France ou la Belgique. Ces pays permettent d’avoir une meilleure qualité de vie, d’éducation, de finances, etc. Donc voilà la raison pour laquelle il ne faut pas cracher sur la Belgique.

Une vie stable, Anonyme, 16 ans, Bruxelles

Une vie stable pour moi, c’est savoir pourquoi tu te réveilles, avoir des objectifs concrets et avoir plus ou moins une routine. Surtout, trouver des repères, des bonnes influences.

J’ai toujours cru en mes parents, Anonyme, 15 ans, Bruxelles

J’ai toujours cru en mes parents car nous nous faisons mutuellement confiance, et il y a une relation et une communication honnêtes entre nous.

Pour y arriver, je pense que ça se fait sur la durée, et que si vous êtes honnêtes avec eux, ils le deviendront avec vous. Il faut faire preuve de patience et surtout bien communiquer avec eux. Par exemple, parler de ses problèmes et difficultés afin qu’ils prennent conscience qu’on ose leur parler de choses désagréables. Ne jamais leur parler de soi pendant une longue durée peut vous éloigner d’eux.

Auteur·e·s : Anonymes

CES PETITS AVIS ONT ÉTÉ PRODUITS LORS DE DIFFERENTS ATELIERS SCAN-R.

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Le livre I was born for this de l’autrice anglaise Alice Oseman est paru le 3 mai 2018. La traduction française est sortie le 11 janvier 2023.
C’est l’histoire d’Angel Rahimi, une jeune fille musulmane qui est fan de The Ark. C’est un boys band de pop rock qui a un succès international. Angel voyage à Londres pour voir Juliette, une très bonne amie qu’elle a rencontré sur internet mais jamais dans la vraie vie. Les deux filles se réjouissent d’assister aux évènements autour de leur groupe de musique préféré. Cependant, leur semaine sera bouleversée par l’autre invité de Juliette et d’autres évènements inquiétants qui se produisent lors d’une après-midi de rencontre avec les stars.

Ce livre est très difficile à déposer à cause de l’intrigue saisissante, des personnages attachants et diversifiées. De plus, il fait également réfléchir sur des thèmes particulièrement pertinents pour les adolescents et jeunes adultes (les valeurs, le futur, l’amitié, etc.) et stimule une introspection. Cependant, ce livre aborde aussi des thèmes plus lourds, comme l’alcoolisme, la dépression et le suicide, qui peuvent être difficiles pour certains lecteurs.

Je déconseillerai ce livre à celles et ceux qui souhaitent lire une romance. Même s’ils explorent des thèmes parfois sombres, c’est un livre merveilleux et éclairant qui fait réfléchir.

Auteure : Anonyme, 15 ans, Liège

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