Adieu défaitisme

Adieu défaitisme

« C’est trop tard de toute façon ». Cette phrase, souvent dite par la plupart de nos parents et grands-parents, me désole un peu car derrière cette phrase j’entends le découragement de faire autrement, car pourquoi faire au final.

Cette simple phrase m’amène à penser et constater la démotivation des gens à vouloir changer/modifier certains gestes de la vie quotidienne pour améliorer la qualité de la vie sur la Terre par défaut d’habitudes.

En tant que jeune adulte, j’ai le sentiment de me situer dans cette tranche d’âge décisive pour notre génération mais aussi les générations futures. J’ai conscience des nombreuses situations actuelles (difficultés financières, réchauffement climatique, inflation des prix, disparition des espèces, etc.) et que tous les impacts négatifs causés par l’Homme ne seront pas tous rattrapables MAIS j’ai cette envie de croire que si chaque citoyen/personne agit en faisant sa part même infime soit-elle, la vie sur Terre pour chaque habitant (être humain, flore) pourrait être plus belle et la Terre pourrait être respectée à son juste titre pour ce qu’elle nous offre au quotidien !

Auteure : Gwendoline, 23 ans, Liège

CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.

Retrouvez ce récit et d’autres dans notre dossier thématique

Soleil

Soleil

Le soleil, c’est un bien petit mot pour un si grand astre. Le soleil, ses rayons chaleureux, sa lumière intense et ses bienfaits sur notre âme.

Il est le symbole de la vie, fait pousser les fleurs, réchauffe la maison et nous rend le sourire. Mais il n’est pas qu’une boule de feu dans le ciel, au centre de l’espace. Dans chacun de nos regards, se trouve un soleil. Dans chacun de nos sourires aussi et dans chacun de nos gestes.

Être un soleil, c’est illuminer la vie de quelqu’un, du voisin, de son père, de sa sœur, de la caissière au magasin. Être un soleil, c’est un bonjour, un comment te sens-tu.

C’est un silence, la main posée sur l’épaule de celui qui pleure. C’est une parole dans la grisaille de celui qui se sent seul.

Et même si vous en doutez, nous sommes tous le soleil de quelqu’un, aussi petit que nous soyons.

 

Auteur : Anonyme

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Le football et ses qualités

Le football nous forge un caractère de gagnant et nous forge un mental pour persévérer car on le voit même dans le milieu professionnel, beaucoup d’équipes ne baissent pas les bras et arrivent à accrocher le nul ou à même parfois aller chercher la victoire alors qu’il y a 2 ou 3 buts à remonter.

Ce sport forge aussi un esprit d’équipe et de solidarité car pour réaliser des exploits footballistiques, il faut avoir confiance en ses équipiers et qu’eux aient confiance en vous car sans cela, rien n’est possible.

Il forme aussi à la discipline car il faut pouvoir écouter le coach si on veut avoir de bons résultats. Si chacun n’en fait qu’à sa tête et n’écoute pas le coach qui a une vision extérieure à la situation sur le terrain (+ global), les résultats seront mauvais.

Mais il faut aussi une rigueur (pour les professionnels) d’un point de vue alimentaire car sinon les blessures seront plus fréquentes.

Auteur : Anonyme

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AMO

AMO

Quand on passe la porte de l’AMO souvent, on est perdu. Souvent, les jeunes que j’ai rencontrés ici se sentent inutiles, de trop, incompris… Bref, le soleil n’est pas au rendez-vous.

Mon travail n’est pas de les contredire car ce qu’ils vivent est légitime et si je me contentais de leur expliquer une façon de penser unique (la bien-pensante, autrement dit) je ne serais pas plus légitime qu’un enfant qui insuffle de la volonté à ses poupées de chiffons.

Non, ce que je veux, ce que je pense juste, c’est de pouvoir prendre le temps de se poser, de discuter et de rêver ensemble a de meilleurs moments, de meilleures perspectives. Au fond le boulot d’un travailleur social à l’AMO, c’est la quête d’un sens, la recherche d’un chemin exploitable pour que chacun dispose des armes nécessaires pour se construire et devenir qui il a envie de devenir.

Auteur : Nico, 26 ans, Namur

CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.

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Lueur d’espoir

Lueur d’espoir

Même si les beaux jours s’annoncent, c’est parfois compliqué de percer le marasme et de trouver la lumière. Chez Wafae pourtant, brille une petite mais indéfectible lueur d’espoir qui flingue tous les brouillards !

C’est compliqué

En tant que jeune Bruxelloise, je m’informe assez régulièrement de l’actualité de notre belle capitale et j’accorde beaucoup d’importance au domaine social. Dans ce secteur, il est vrai que les nouvelles n’ont pas été très rassurantes… Épidémie, mesures sanitaires difficiles, violences policières, racisme, délinquance, précarité sociale, dépression chez les jeunes et les personnes âgées, harcèlement de rue, féminicides et bien d’autres thèmes encore plus durs les uns que les autres, ont été abordés dans les médias ces derniers mois.

Je fais quoi moi ?

La situation sanitaire que nous avons traversée – et traversons – a, réellement, mis en lumière les réalités difficiles de beaucoup de Bruxellois·e·s. Des réalités souvent peu abordées, négligées, voire, parfois, considérées comme socialement « taboues » ou inacceptables. En tant que jeune évoluant dans ce semblant de chaos social, je me suis posée les questions suivantes : comment tout ça a-t-il bien pu démarrer ? Comment arriverons-nous à rétablir un climat social serein ? Que puis-je faire en tant que jeune femme à l’identité multiculturelle ? Quel rôle pourrais-je jouer ? Et surtout comment pourrais-je rester optimiste pour l’avenir de la jeunesse et de la société ?

Une lueur

La situation sanitaire que nous traversons est une rude épreuve et plus encore pour les personnes déjà socialement défavorisées. Avec un peu de recul aujourd’hui, je réalise que ce qui m’a permis de résister dans ces moments difficiles, c’était, en réalité, une lueur d’espoir qui brillait dans mon for intérieur… Cette lueur, c’est peut-être celle qui a poussé de nombreux citoyens, dès le début du confinement, à créer rapidement des chaines de solidarité dans tous les coins de la ville. Jeunes et moins jeunes de tous horizons se sont associés pour proposer une aide aux Bruxellois en difficulté. De nombreux citoyens ont également ressenti le réel besoin et l’envie de se soutenir au mieux, face à certaines violences et injustices sociales. Ce qui a provoqué un foisonnement d’actions virtuelles, de mouvements et hashtags sur divers réseaux sociaux.

Rêver et construire ensemble

Cet espoir de pouvoir, toutes et tous ensemble, reprendre une vie sociale presque épanouie s’est révélé être notre plus grande force et certaines actions ont pu donner de véritables leçons d’humanité ! Cette expérience sociale nous a permis de faire jaillir cette belle capacité de résilience qu’est la nôtre et qui permet de continuer à espérer un avenir meilleur, même quand nos besoins les plus élémentaires sont mis à mal. Je rêve d’une société sereine où tou·te·s les citoyen·ne·s pourront voir leurs droits garantis. Une société où la justice serait davantage établie et où la multiculturalité sera considérée comme une véritable plus-value et non une tare. Comme le dit le proverbe, « l’espoir fait vivre ! » Et c’est dans l’attente de cet avenir social rêvé que je tenterai au mieux d’agir à mon échelle pour cultiver cette humanité parfois perdue. Mais aussi pour lutter contre toutes les formes de violence et préserver le vivre ensemble qui fait de notre Bruxelles, une ville riche et belle.

Auteure : Wafae, 24 ans, Bruxelles

Cet article a été écrit lors d’un atelier Scan-R à distance

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