Adieu défaitisme

Adieu défaitisme

« C’est trop tard de toute façon ». Cette phrase, souvent dite par la plupart de nos parents et grands-parents, me désole un peu car derrière cette phrase j’entends le découragement de faire autrement, car pourquoi faire au final.

Cette simple phrase m’amène à penser et constater la démotivation des gens à vouloir changer/modifier certains gestes de la vie quotidienne pour améliorer la qualité de la vie sur la Terre par défaut d’habitudes.

En tant que jeune adulte, j’ai le sentiment de me situer dans cette tranche d’âge décisive pour notre génération mais aussi les générations futures. J’ai conscience des nombreuses situations actuelles (difficultés financières, réchauffement climatique, inflation des prix, disparition des espèces, etc.) et que tous les impacts négatifs causés par l’Homme ne seront pas tous rattrapables MAIS j’ai cette envie de croire que si chaque citoyen/personne agit en faisant sa part même infime soit-elle, la vie sur Terre pour chaque habitant (être humain, flore) pourrait être plus belle et la Terre pourrait être respectée à son juste titre pour ce qu’elle nous offre au quotidien !

Auteure : Gwendoline, 23 ans, Liège

CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.

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Ma plus grande fierté

Ma plus grande fierté

Douter du sens, c’est questionner l’utilité de nos actions, de l’énergie dépensée, des échecs.

Au quotidien, je cherche un sens à ma vie. Je ne la trouve pas mais je fais des choses qui on du sens. J’essaie en tout cas.

3 ans de travail. 3 ans d’énergie, de sacrifice. 3 ans de sens ? Comment le savoir ?

Ma réponse : regardez leurs sourires !

Auteur : Cyril, 26 ans, Liège

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L’épreuve de l’authenticité

L’épreuve de l’authenticité

Aujourd’hui, est-il difficile d’être quelqu’un d’authentique ? A l’heure où les personnes ont tendance à tout codifier, à exposer leur vie pour un rien, à s’exprimer sans retenue, être authentique, c’est presque une épreuve. Comme si on ne savait plus se détacher de l’éducation de nos parents, de la voie à suivre, celle dictée par les écoles, politiciens ou autres moralisateurs de pacotille.

Chacun a sa définition de l’authenticité. Tant mieux. Je ne veux obliger personne à respecter un consensus sur le « comment qu’on doit se comporter ». Vous m’avez pris pour qui ? Je laisse l’art de convaincre aux Grand Illuminés de nos sociétés. Par contre, je peux énoncer ce qui, à mon humble avis, implique d’être authentique. Attachez votre ceinture. C’est parti ! L’authenticité implique un tas d’actions : ne pas endosser des couleurs politiques car on croit se situer dans le Camp du Bien, vivre en accord avec ses valeurs, se forger une opinion vierge de toute influence, etc.

Bref, je déteste celles et ceux qui jouent aux sourds et aveugles, ou les personnes faisant semblant d’être engagées, vives d’esprit… je ne suis pas pour autant pessimiste ! Je me dis qu’on évolue à divers moments de nos vies. On sera véritablement authentique à un instant précis de notre existence.

A écouter aussi en podcast ici

Auteur : Bruno, 26 ans, Liège

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Un pour tou·te·s, tou·te·s pour la culture !

Un pour tou·te·s, tou·te·s pour la culture !

Brenda est membre d’une super assoce qui transforme les jeunes en citoyen·ne·s ! Elle participe aussi à la cellule culture de cette association. Passionnée, avide de culture, elle souhaite que tout le monde puisse – y compris – celles et ceux qui ont moins de moyens puissent y accéder !

Les ambassadeurs

Il y a un an et quatre mois, du haut de mes 17 ans, je suis officiellement rentrée dans l’organisation de jeunesse « Les ambassadeurs d’expressions citoyennes ». Ce fut l’une des meilleures décisions de ma petite vie. Cette organisation ayant pour but de donner la parole aux jeunes, de créer des écoles plus citoyennes, d’aider les jeunes en décrochage scolaire m’a chaleureusement accueillie. J’y ai rencontré de nombreuses personnes et, au début, je ne trouvais pas ma place. C’était une microsociété dont je ne connaissais ni les codes, ni les mœurs. Au bout d’un certain temps, à force d’aller “au bureau”, le lieu de prédilection des ambassadeurs, je me sentais enfin chez moi. Les mois passèrent et on me proposa d’intégrer la cellule culture. Celle-ci avait pointé le bout de son nez il y a peu et avait pour but de montrer aux jeunes que la culture était également faite pour eux, pour tou·te·s les jeunes. Après avoir longuement réfléchi, approximativement deux secondes, j’avais pris ma décision et, avec un sourire jusqu’aux oreilles, je répondis : « Oui ! ». J’allais pouvoir partager ma passion pour l’art aux jeunes.

Donner l’envie

Pour ce faire, je me suis interrogée sur comment je pouvais donner envie aux jeunes d’assister à des expositions, de visiter des musées, de participer à des vernissages. Tout simplement comment faire en sorte que la jeunesse s’intéresse plus à l’art et à ce qui en découle. Et là, ça a percuté : il ne fallait pas simplement donner envie aux jeunes d’aller à des expos, il fallait également leur montrer qu’ils et elles y avaient leur place. Effectivement, nombreuses et nombreux sont celles et ceux qui considèrent l’art hors de leur portée. Pourquoi ? Pour des raisons financières, sociales ou socioculturelles …

On analyse

Commençons par le côté financier : tous les jeunes n’ont pas les moyens de s’offrir une place à 15 € pour aller voir une exposition. Cette réalité crée un fossé entre l’enfant et/ou l’adolescent et la culture. Certes, il existe les « premiers mercredis du mois gratuits » et les « musées gratuits pendant les vacances pour les étudiant·e·s », mais cela ne va pas changer la donne. Peut-être que la phrase « ça coûte trop cher, désolé mais tu ne pourras pas y aller mon fils / ma fille » est gravée en eux.

Continuons avec le côté social : je viens d’un milieu où la culture est mise en avant. Un milieu qui me permet de me sentir à mon aise lorsque je vais visiter une expo ou un musée. Tout simplement, parce que ça fait partie de mon quotidien depuis ma plus tendre enfance. Malheureusement, nous n’avons pas tous et toutes la même chance. En effet, les enfants venant de famille n’ayant pas pour habitude d’aller au musée, de parler d’art, de musique etc. ne se sentiront pas à leur place, parce que face à eux et elles, ce sera l’inconnu. Elles et ils devront sortir de leur zone de confort et oser mettre un pied dans ce nouveau monde s’offrant à eux. Ça peut faire peur, ça peut intimider et ça peut même faire fuir.

Terminons avec le côté socioculturel : disons-le tout simplement, j’ai la chance d’être blanche de peau dans notre société. Les regards, les insultes, les fouilles et tout ce qui s’ensuit ne fait pas partie de mon quotidien. Je ne sais pas ce que c’est d’être contrôlée ou bien même d’être constamment surveillée à cause de ma couleur de peau. Ces comportements déplacés, qui appartiennent à un tout autre débat, répugnent et repoussent certain·e·s, ne leur donnent pas envie de visiter quoi que ce soit et je les comprends. Il est impossible pour elles et eux de se sentir à l’aise dans un lieu où la surveillance est permanente. Ces lieux ont eux aussi encore beaucoup à apprendre.

Des idées pour rendre la culture plus accessible ?

Parlons maintenant de positif, autrement dit de solutions que l’on pourrait apporter pour changer tout ça. De nombreuses possibilités s’offrent à nous mais je vais n’en développer que trois. Premièrement, nous pourrions donner plus de budget aux écoles ayant des difficultés financières à la base ou ayant des élèves possédant des difficultés financières. Ça permettrait d’amener des jeunes défavorisés par leur milieu social à se sentir à l’aise dans les musées, les expositions, etc. Deuxièmement, nous pourrions créer un « pass étudiant » pour les musées. Le prix de celui-ci serait abordable pour tout public et donnerait la possibilité à une multitude de jeunes de se rendre régulièrement dans ces lieux de cultures. Enfin, troisièmement, nous pourrions créer un système « d’une place achetée, une place offerte ». Ainsi, soit les jeunes pourront diviser le prix de la place par deux et payer chacun la moitié, soit, si l’un des deux est plus aisé, il pourra payer la sienne et y amener un ami n’ayant, lui, pas les moyens.

Ça changera !

Je suis convaincue que les choses peuvent changer. Notre société a évolué et continue d’évoluer de jour en jour. Les idées de musées gratuits sont de bonnes initiatives, mais ce n’est pas suffisant. Il faut redoubler d’effort si l’on veut réellement, un jour, pouvoir dire : « la culture est accessible à tous ». Ce slogan existe déjà cependant, comme vous avez pu le remarquer, il n’est pas tout à fait vrai.

Auteure : Brenda, 18 ans, Bruxelles

Cet article a été écrit lors d’un atelier Scan-R

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À l’Héloïse du futur

À l’Héloïse du futur

Coucou, c’est moi. Toi du passé. C’est étrange de s’écrire à soi-même, ce le sera sans doute encore plus quand je tomberai sur cette lettre, un an après, sans m’y attendre. J’aurai peut-être même oublié son existence. En tout cas, j’espère que lorsque cela arrivera, je serai en adéquation avec la vision du monde proposée dans cette lettre. Soit, je t’écris pour partager ma conception de demain. Pour tenter de comprendre cette vision, je te rappelle juste que c’est l’Héloïse du passé qui t’envoie ce message.

Fast life, fast Héloïse

Certains de mes amis disent que j’ai une “fast life”. Je suis une personne intéressée et curieuse de tout ce qui m’entoure. Toujours occupée avec 36 000 activités, projets,… J’aime tout ça mais je commence à ressentir un manque de temps pour moi. J’ai donc pris l’habitude de procrastiner. Je repousse en disant “après”. Seulement chez moi, après signifie jamais. Sans parler de l’art que je cultive de ne pas dire ce que je pense. Je garde mes émotions et sentiments pour moi. Je ne dis jamais “je t’aime” ni que les personnes sont importantes dans ma vie. Je ne vois pas le mal avec ces habitudes. On m’a toujours dit qu’avoir de l’ambition et plein de projets, que c’était primordial. Mais à force d’avoir trop d’activités, on passe à côté de l’essentiel… Pendant ces semaines confinées, j’ai eu le temps de réfléchir et je ne souhaite plus la même vie pour toi, Héloïse du futur. 

Alors, t’as poussé sur le frein ?

Pendant le confinement, j’ai senti un changement en moi. Une évolution, voire une prise de maturité. J’ai eu le temps de remettre en question ma définition de l’essentiel et je me rends compte que je suis bien à côté de la plaque… Je consacre beaucoup d’énergie à mes projets. Trop. La mini-entreprise, le rôle d’animatrice dans une association, mes études, ma seconde rhéto l’an prochain, mon rôle au sein de l’école et j’en passe… Tous ces engagements m’empêchent de passer du temps avec les personnes qui m’entourent. En écrivant cette lettre, je veux, Héloïse, que tu reviennes aux choses simples. J’espère que tu es moins absorbée par plusieurs projets et que tu es en train de vivre pleinement ta seconde rhéto à l’étranger ! As-tu arrêté de repousser tes engagements, de t’engager dans tout pour au final trouver une excuse ? As-tu arrêté les faux plans dont tu étais une professionnelle ? 

Et tu admires le paysage, au moins ?

J’ai énormément d’autres envies pour ton avenir mais, surtout, j’espère que tu as du temps. Que tu le prends. Du temps pour toi, du temps pour ta famille, du temps pour tes amis et ensuite seulement, du temps pour les projets qui te passionnent. J’espère aussi que tu es plus communicative sur tes sentiments. As-tu dit, ne serait-ce qu’une fois, “moi aussi, je t’aime” au cours des quelques derniers mois ? À partir de maintenant, moi, Héloïse d’hier, d’aujourd’hui et de demain, je m’engage à dégager des moments pour profiter de chaque instant avec les gens que j’aime. 

 

Auteure : Héloïse,17 ans, Bruxelles

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