Bouches Émissaires, Jeunesses Ardentes dans la presse

👋🤩 Déjà 3 semaines que 𝘽𝙤𝙪𝙘𝙝𝙚𝙨 É𝙢𝙞𝙨𝙨𝙖𝙞𝙧𝙚𝙨, 𝙅𝙚𝙪𝙣𝙚𝙨𝙨𝙚𝙨 𝘼𝙧𝙙𝙚𝙣𝙩𝙚𝙨 est sorti 🤓📘

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Notre nouveau livre, Bouches Émissaires, Jeunesses Ardentes, est en vente dès maintenant

Ca y est ! Il est enfin là, tout beau, tout chaud, le livre 𝘽𝙤𝙪𝙘𝙝𝙚𝙨 É𝙢𝙞𝙨𝙨𝙖𝙞𝙧𝙚𝙨, 𝙅𝙚𝙪𝙣𝙚𝙨𝙨𝙚𝙨 𝘼𝙧𝙙𝙚𝙣𝙩𝙚𝙨 est en vente dès maintenant 🥳

𝘽𝙤𝙪𝙘𝙝𝙚𝙨 É𝙢𝙞𝙨𝙨𝙖𝙞𝙧𝙚𝙨, 𝙅𝙚𝙪𝙣𝙚𝙨𝙨𝙚𝙨 𝘼𝙧𝙙𝙚𝙣𝙩𝙚𝙨, c’est :

• 103 récits écrits par des jeunes, qui ont accepté de livrer des récits passionnés, engagés, rappelant des douleurs parfois, livrant des messages de tolérance et d’espoir, surtout 👏
• À propos de 4 thématiques : Écologie, Genre, Migration & Scolarité
• Des illustrations réalisées par nos membres de la Rédaction Jeunes : Belinda Oden et Simon Themans
• Une préface écrite par Sarah Schlitz, Secrétaire d’État à l’Égalité des genres, à l’Égalité des chances et à la Diversité et une postface écrite par Valérie Glatigny, Ministre de la Jeunesse en Fédération Wallonie-Bruxelles
• Le 2ème recueil de la collection Bouches Émissaires

Merci à toutes les personnes qui nous ont permises de diffuser et relayer les témoignages de cette génération ardente, consumée par le désir de ne plus se taire, de reprendre sa place dans une société où, trop souvent, elle est oubliée, délaissée, stigmatisée 🙏🙏

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L’école dans mon monde idéal

L’école dans mon monde idéal

Analyse

En premier lieu, posons-nous la question de savoir pourquoi l’école est si mal appréciée par les jeunes ?  Il y a plein de raisons :

-> Le système scolaire privilégie la compétition au lieu de la coopération. Mettre des notes d’évaluation à des jeunes est contre-productif. Si le jeune s’est donné à fond pour un test et qu’il a une mauvaise note, il va dans les 3/4 du temps se faire engueuler par ses parents et se faire juger par les profs. Des fois même, le passif de l’élève resurgit, par des moqueries, ou dans les remarques de certains profs.

-> Et les horaires, parlons-en. 8h-16h, cela ne paraît pas beaucoup pour un travailleur mais quand nous comparons notre système scolaire au pays avec un système horaire plus léger, qui privilégie l’engagement des jeunes au sein de clubs sportifs, les statistiques de réussite et de bien-être sont plus concluantes.

Pistes

Je pense que notre système scolaire est obsolète. Dans l’idéal, il faudrait une école qui ne prône pas la compétition avec un système où on regarde si l’élève a compris la matière ou imposer des cours qui sont simplement éliminatoires en fin d’année. Pour moi, cela éviterait par exemple les fouteurs de merde qui ne font rien de toute l’année et qui passent de justesse avec les examens de fin d’année.

Il faudrait aussi un système de demi-journée de cours. Par exemple, les cours seraient donnés le matin. L’après-midi serait consacrée au sport, à l’étude, ou autres activités ludiques.

Il faudrait aussi une accessibilité à une salle de sport, un terrain, ou un local pour les différents sports ou club, afin de permettre à chacun de s’entrainer, se réunir, discuter. Pourquoi ne pas imaginer une bibliothèque constamment disponible, un suivi alimentaire dès le plus jeune âge afin de s’assurer de la bonne santé de chaque élève ?

Imaginez : un système de suivi individuel pour tous les jeunes souffrant de « troubles dys » afin de ne pas accumuler de lacune étant petit et se retrouver bloqué à l’adolescence…  Il faudrait également réussir à éviter les discriminations vestimentaires, en imaginant par exemple un « code » pour chaque saison ?

Utopique ou non ?

Auteur : Ludovick, 17 ans

CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.

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La considération

La considération

Le plus révoltant dans ce monde, c’est le corps professoral ou plutôt, l’inhumanité qui peut s’en dégager. J’ai le sentiment que beaucoup deviennent prof pour se distinguer, exercer un pouvoir. La notion de partage ou encore d’humanité semble totalement oubliée. On parle à des chiffres, on lit des slides, on se fou ouvertement de la gueule de certains élèves, on met en avant certains autres. On créé une compétition entre élève comme si le « m’as-tu vu » qui règne dans les couloirs n’était pas suffisant. Ils sont au pouvoir parce que c’est eux qui deviennent les maîtres de ta réussite. Certains arrivent à te faire comprendre que s’ils veulent, ils peuvent faire de ta vie un enfer. D’autres te noient dans le travail. En fait, je réalise qu’il manque cette notion d’échange. Je vous offre une partie de mon savoir, et je ne l’utilise pas comme pouvoir. Je vous tends la main au lieu de vous pousser, et j’attends vos retours. J’attends une relation vraie au lieu de vous frustrer. Je vous vois, je vous entends, je vous considère. C’est de ça dont on a besoin. La semaine passée dans mon école, on m’a dit qu’une prof marquera à tout jamais les esprit : Monia G., parce qu’elle connait mon nom, parce que jamais je n’ai eu à m’excuser d’être ce que je suis, de penser ce que je pense et de le partager. La bienveillance était tellement installée qu’on a plus peur de se tromper. C’est malheureux que l’on prenne la considération comme une denrée rare…

Auteure : Valentina, 24 ans.

CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.

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Système scolaire, vecteur de stress

Système scolaire, vecteur de stress

Lors d’un atelier organisé en partenariat avec Service Citoyen, Scan-R a rencontré Corentin. Dès les premiers échanges, les premiers exercices, on sent chez Corentin une soif de militantisme et d’espoir pour faire bouger une société figée sur elle-même. Aperçu : 

A l’heure où élèves et enseignants se demandent quand finira l’état de crise infligé par le COVID-19, où il devient difficile de suivre continuellement les nouvelles mesures prises par le gouvernement, la question de la santé mentale semble être, plus que jamais, au centre des débats. Cette même santé mentale qui était trop peu souvent questionnée dans le quotidien des acteurs de l’enseignement devient cruciale. Faut-il uniquement se contenter de limiter les dégâts pour les mois à venir ? Ou doit-on interroger le système pédagogique en lui-même ?

Comment en était-on arrivé à un tel point de rupture pour les élèves et les professeurs ? C’est la première question à laquelle nous devons faire face si nous espérons trouver des pistes de solution pour les années à venir. Il faut remonter le temps et revenir à la période « pré-covid » quand école rimait avec stabilité et règles clairement établies.

En tant qu’ancien élève ayant tout juste terminé ses secondaires, je dois avouer avoir été frappé par la place que prenait le stress dans le quotidien des jeunes. Une pression continue qui semble peser de tout son poids sur les épaules des étudiants tout comme sur celles des enseignants les encadrant. Il y a continuellement une échéance importante à venir qu’elle prenne la forme d’un projet à rendre ou d’une évaluation à passer. Qu’est ce qui explique que les matières scolaires provoquent un tel stress chez les élèves ? Pourquoi voit-on une interrogation « ratée » comme une fatalité ? Pour apporter des réponses à ces questions, il faut prendre du recul, sortir du système scolaire pour analyser les idées toutes faites véhiculées par la société. Nous avons tendance à survaloriser la réussite et à dénigrer l’échec. La défaite est vue comme une fin en soi et non comme une étape vers un résultat positif.
Lorsque l’élève ayant des difficultés depuis des années en mathématiques reçoit sa feuille d’interrogation avec un simple 8/20 écrit en rouge, quel message lui renvoie-t-on ?
Il va considérer que les efforts qu’il a mis en œuvre pour arriver à ce résultat ne valaient pas la peine. Le problème étant que si cette situation est appelée à se répéter, le jeune va perdre confiance en lui et laisser tomber. Il ressentira donc soit un profond stress soit un découragement total à l’annonce de la prochaine évaluation. Il est crucial de mettre davantage en lumière les efforts fournis par les élèves. Il faut que chaque étudiant comprenne l’origine de ses fautes. Dans ce cadre, l’existence de remédiations est primordiale afin que le jeune associe son erreur non à un manque de travail ou de capacité mais à un manque de compréhension. Enfin, l’entraide entre les élèves permet à chacun d’échanger sur ses difficultés, de s’inspirer des méthodes de ses pairs et de reprendre confiance pour se sentir utile et compétent.

Il ne faut pas non plus être utopiste. Comment les enseignants peuvent-ils être au courant du cas de chacun ? La première étape serait, sans doute, de réduire la charge de travail des professeurs pour qu’ils puissent renforcer leur relation, base de l’apprentissage, avec les jeunes.

En parlant de charge de travail, il serait totalement contre-productif de l’aborder sans évoquer les programmes scolaires. Ces quotas de savoir à transmettre aux élèves mettent l’équipe pédagogique dans une position délicate. Véritable dilemme entre s’assurer de la bonne compréhension de chacun ou aborder tous les points du programme, il est vecteur de stress pour les enseignants. Ce même stress se répercute sur les jeunes que cela prenne la forme d’un rythme soutenu ou simplement dans la façon de donner cours. Nous devons apprendre à favoriser la qualité à la quantité.

Ensuite, si nous parlons de la question du rythme scolaire, il est impossible de ne pas aborder l’importance des moments de pause. Nous avons tendance à l’oublier mais il reste difficile pour bon nombre de jeunes de rester concentrés pendant plusieurs heures. C’est dans ce cadre qu’il faut mettre en place davantage de pauses dans le quotidien des élèves comme des professeurs. Il est évident qu’une journée entière passée à l’école suivie de plusieurs heures à la maison pour travailler ou étudier des matières scolaires est vecteur de fatigue mais également de stress.

Pour conclure, nous devons voir la crise sanitaire comme une véritable opportunité de remettre en question les systèmes qui nous entourent dont le système scolaire. Transformons cette pandémie en un moteur pour le changement de demain. Commençons par redonner du sens à l’échec, à inverser la tendance pour privilégier la qualité à la quantité et ayons courage de briser le rythme infernal dans lequel nous sommes enfermés bien trop souvent. Ne voyons pas cette remise en cause comme un projet uniquement porté par les étudiants mais également par les enseignants car le bien-être mental est crucial pour l’apprentissage comme pour la transmission de savoirs !

A écouter aussi en podcast ici

Auteur : Corentin, 18 ans, Bruxelles

Cet article a été produit lors d’un atelier Scan-R

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