Une voie de guérison

Une voie de guérison

Aujourd’hui, le métier d’éducateur continue à souffrir de manière chronique et durable d’un manque de reconnaissance et de légitimité. Pourquoi la société continue à ne pas leur en offrir ? Pourquoi ce déclassement de la profession est-il installé dans la durée ?

Reconnaitre les ES
C’est reconnaitre les personnes déclassées, invisibilisées dont ils s’occupent. Les personnes qu’on préfère ne pas voir et ne pas entendre.

Reconnaitre les ES
C’est reconnaitre qu’on n’arrive pas à prendre soin de chacun ; c’est assurer qu’on laisse certains de côté, c’est ouvrir les yeux tout grands sur les négligences, la maltraitance, les violences, les abus, la consommation…

Reconnaitre les ES
C’est lutter contre ceux qui préfèrent rester dans le déni, faire l’autruche, dire qu’ils ne savaient pas, qu’ils ont oublié ; que ce n’est pas leur faute.

Ne pas reconnaitre, c’est un mécanisme de défense. Cela évite de s’écrouler, en faisant face aux affres des souffrances que les hommes s’infligent entre eux. L’homme reste un loup pour l’homme. Quand quelqu’un est dans le déni, le processus de lever celui-ci peut être très lent, ou au contraire, un choc brutal. Ce qui a été enfoui, affleure dans les attitudes, les gestes, les non-dits, les douleurs physiques… aujourd’hui, la société reste dans le déni.

Vous êtes le rêve inconscient qui affleure et ressurgit. Vous êtes l’épine qui réveille. Vous êtes la trace d’une douleur cachée. Vous devez continuer à lutter car il faut faire émerger les secrets traumatiques qu’on a enfermé et qui nous pourrissent.

C’est la seule voie de résilience et de guérison.

Auteure : Elise, 41 ans, Mons

CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.

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L’ère de la gayrison

Aujourd’hui, j’ai vu un·e adelphe pleurer dans le train. Je me suis assise à côté d’iel, comme un phare qui guide la mer. Je l’ai senti·e comme une prémonition : une aura rose, blanche et bleue pastelle. Une douceur incarnée. C’est comme si la dernière place assise avait été illuminée pour que je m’y place. Malgré ma musique, j’entendais des sanglots étouffés, comme si le reste de sa ressource s’épuisait ; un craquement s’opérait. C’était trop tard. Le verre s’est brisé. D’un coup, un retentissement sourd, que seul·e·s les concerné·e·s entendent, éclate. Je n’ai pu m’empêcher de regarder d’où venait cet appel. Mon œil jeté, mon mouvement de cou, a entrevu une ligne d’un long message. Les larmes coulaient à flot. La mer s’est retirée. Trop rapidement. Ça ne peut pas être une bonne nouvelle. Une lourdeur m’a submergée. La Meuse se jetait dans la Mer du Nord. Toutes les portes se sont ouvertes. J’ellui ai tapoté le dos et tendu des mouchoirs. Iel m’a regardée, iel m’a vue. J’avais des larmes chaudes qui coulaient le long de mes joues. Malgré mon apparence, mon par-être, iel a remarqué mon pins. Tout s’est arrêté. Le temps et l’espace sont devenues élèves des maitre·sse·s que nous devenions. À ce moment-là, j’ai ressenti la douleur profonde, la mienne, chez une autre personne. Je mettais promises deux sacrements – qui transcendent le bien et le mal et ce qui a entre, voire même le tout– : 1. Pas de pitié pour les transphobes (élargissez cela à tout oppresseur) 2. Je ne laisserais jamais quelqu’un·e d’autre devoir subir/ ressentir une telle douleur, pas devant mes yeux. J’ai emporté tous les brise-lames. On pleurait à deux mais on était plus seul·e·s.

Je pense que c’est justement l’enjeu : on nous rend vide, sans sentiment, docile, terrorisé·e, fatigué·e, mort·e… nous dépérissons comme des ruines, nous ne parlons plus. Plus grave encore, nous perdons notre équilibre, nos passions : l’énergie nous quitte et ensuite nous ne savons plus traduire le monde par nos arts, par nos êtres. Et, c’est comme ça que je disparais.

Mais je pense que c’est ça aussi qui est doux et beaux : on est plus seul·e·s face à la vie, face à la différence, face à l’adversité ; on rencontre d’autres personnes trans plus jeunes (avec compassion), plus âgées (avec espoir). C’est beau de se sentir compris·e et vu·e ! On peut avancer en ayant moins peur car le partage de nos expériences nous soudent et nous rendent plus fort·e·s. On ne sera plus seulement la mer mais toutes les vagues qui la composent, qui se forment et se reforment à l’infini. On pourra être le vent, le sel, le sable, l’écume, les vagues, tout ce qui rend la mer, la mer. Tout ce qui va ensemble et se révèle donc plus grand. Il ne s’agit plus seulement de faire partie d’une communauté mais d’en être une sans exclusion – peu importe nos différences.

À l’heure actuelle, j’ai récupéré le feu de ma passion. C’est ici que s’échoue leur empire, leur oppression. Parce que, si je sais réécrire, ils mourront car je suis poétesse et j’occis avec les mots. Je suis non seulement gardienne de la lumière, je magne aussi les maux et en fait ressortir le phare qui guidera les bateaux, le soleil qui guide les abeilles, la lune qui guidait les gens déchues. C’est peut-être tout cela qui nous rapproche : apprendre à nous connaitre car la connaissance réduit nos peurs et augmente notre sagesse. Comme je l’ai dit à ma·on copain·e : moins de peur, plus de douceur.

J’espère que cette lettre te trouvera. Toi. Pour un monde meilleur sans haine, si cela existe.

Autrice : Zéphyre, 26 ans, Marche-en-fammenne

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Ardemment

Ardemment

En juin 2025, la Ville de Liège a mandaté Scan-R pour organiser plusieurs ateliers avec des jeunes Liégeois·es. L’objectif ? Récolter leur avis sur les actions et politiques mises et à mettre en place pour définir son Projet de Ville « Liège 2030 ».

Liège n’est pas surnommée « La Cité Ardente » pour rien. Les liégeois aiment vivre passionnément, faire la fête, et plus que tout : s’emparer d’une cause. Ils veulent s’approprier leur ville, en faire un espace chaleureux et profondément vivant.

Alors, lorsque leurs autorités communales décident de restreindre arbitrairement la tenue d’une fête aussi populaire que la fête en Pierreuse, en la contraignant à s’arrêter à 23h contre toute logique festive et financière, les Liégeois se mobilisent.

Ils font tourner une pétition, la signent massivement. Ils ne se laissent pas faire.

Et une fois de plus, la lutte paie. Les autorités se voient obligées de revenir en arrière et annoncent que la fête en Pierreuse pourra se clôturer aux horaires habituels. Encore une fois, l’esprit de lutte et la détermination des Liégeois se montrent admirables et exemplaires. Plus que la survie matérielle et financière d’une fête populaire particulière, ce qui se joue ici n’est, ni plus, ni moins, que la conception qu’on se fait de la ville de Liège. Alors que les autorités cherchent de plus en plus à vendre Liège aux touristes aux poches bien remplies et aux promoteurs immobiliers, le peuple de Liège entend conserver et enrichir sa ville comme espace humain, populaire et profondément social.

La proposition absurde de vouloir organiser la nuit des Coteaux, une année sur deux, montre que le combat n’est pas fini et qu’il faudra continuer à se mobiliser. A l’heure où nos villes et communes sont plus vues par les politiques comme des variables d’ajustement budgétaire, la résistance des Liégeois démontre qu’il n’y a pas de fatalité.

Auteur : Anonyme, 29 ans, Liège

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Je trouve du sens à me lever le matin

Je trouve du sens à me lever le matin

Souvent, quand elle ouvre les yeux le matin, la beauté de la nature, le chant des oiseaux incite Manuella à observer la richesse que le monde lui offre. Quelques secondes plus tard, elle se rappelle toutes les injustices commises, au moment même, aux quatre coins du monde. A priori, son unique envie est de se rendormir et d’oublier la société injuste dans laquelle elle vit et pourtant …

Pourtant …

Je parviens tout de même à me lever et je tente, dans la mesure du possible, de me battre quotidiennement contre les inégalités. Je n’ai aucunement la prétention de dire que je suis « une vraie guerrière » qui lutte et change radicalement son mode de vie. Loin de là, mes efforts sont extrêmement minimes. Avec le temps, je pense qu’une transition complète s’opèrera. En outre, je suis convaincue que si une masse de personnes se lève et met des choses en place pour changer notamment leur mode de consommation, l’impact sera nettement plus conséquent, aura des effets concrets sur la société. Selon moi cette « masse » à sensibiliser, à conscientiser et à éduquer devrait être la jeunesse. Qui demain pourra se lever et changer les choses ?

Quels demains ?

Si rien ne change, la jeunesse d’aujourd’hui est la victime de demain. C’est elle et les générations futures qui devront vivre dans un monde détruit. C’est pourquoi je suis de celles et ceux qui misent sur l’éducation et sur la jeunesse. Si demain matin, je me lève et trouve un sens à ma vie, ce sera pour lutter, à ma manière, contre les différents systèmes d’oppression tels que le sexisme, le racisme, l’homophobie et bien d’autres… Mais ce qui reste le plus urgent pour moi est d’arrêter de détruire notre chère Terre, de commencer à réparer les erreurs commises par nos ancêtres et de prendre soin de notre planète. Très peu de gens se rendent compte de l’urgence et de l’enjeu climatique.

Changeons la donne !

Une vraie question se pose à nous et nous perturbe l’esprit : est-il encore temps de changer les choses ? Le temps nous est compté et il est compréhensible que certains d’entre nous perdent espoir. Cependant, sans cet espoir, porté peut-être principalement par des jeunes, on n’avance vers rien sinon dans le mur. C’est ensemble que rapidement le changement se fera. Pour toutes ces raisons et bien d’autres, me réveiller chaque matin prend du sens.

Auteure : Manuella, 17 ans, Ath

Cet article a été écrit lors d’un atelier Scan-R de la Caravane des assises de la jeunesse.

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