LES PETITS AVIS, EPISODE 100

LES PETITS AVIS, EPISODE 100

Dès le départ, Scan-R essaye de valoriser la parole de chacune et de chacun ! Parmi les textes que nous recevons, certains sont trop brefs pour faire l’objet d’un post, nous les rassemblons donc dans un seul article sobrement intitulé “Les Petits Avis”.

Twilight, Gaëlle, 16 ans, Liège

Twilight est une saga qui raconte l’histoire d’une adolescente de dix-sept ans, Bella Swan, qui déménage chez son père à Forks, une petite ville de Washington. Au lycée, elle va être directement intriguée par une famille, pour le coup, très étrange… Bella va tomber follement amoureuse de Edward Cullen, un des membres de cette famille. Ils vont vivre une histoire d’amour sensuelle mais rapidement dangereuse, lorsque que Bella apprend qu’Edward est un vampire, mais il est trop tard pour revenir en arrière…

Dès le début du film, on s’attache vraiment à Bella et Edward incarnés par Kristen Stewart et Robert Pattinson. Ce qui d’ailleurs, est vraiment attrayant, c’est qu’il y a énormément de rebondissements. En effet, leur amour qui, au départ, est plutôt passionnel va très vite être confronté à des choix, des sacrifices mais aussi à des conséquences des choix faits par ces personnages. Cela nous permet de nous demander si on aurait agi de la même manière qu’eux, face à la situation, ou encore de se poser des questions par rapport à leurs choix.

L’intrigue, l’amour passionnel mais dangereux, le suspens, les confrontations entre les différents personnages sont ce que j’ai retenu de ce film. L’envie que ça ne s’arrête jamais nous prend dès le départ. J’avais lu tous les livres avant de regarder les différents épisodes et je n’ai vraiment pas été déçue par les films. Je conseille donc cette saga à des personnes qui aiment les films remplis de rebondissements et qui sont fascinées par des histoires d’amour pleines de conséquences… mais attention, si vous êtes sensibles à l’idée de voir quelques gouttes de sang…

L’imaginaire, Anonyme, 16 ans, Namur

Pour moi, le vrai bonheur, c’est de lire des mangas car ça m’a fait changer la façon dont je vois le monde et la société actuelle. Mais aussi des histoires avec des personnages imaginaires où l’on finit par s’identifier à eux.

Les mangas ont changé ma vie, j’espère qu’ils changeront la vôtre. Merci à tous les mangakas pour ce bonheur que vous avez imaginé.

Etre différent, c’est être spécial ?, Anonyme, 33 ans, Namur

« Pour moi, être différent, c’est être spécial ». Je suis d’accord, mais cette opinion n’est-elle pas avant tout la recherche de qui l’on est réellement ?

Créer sa différence, n’est-ce pas se mentir ? Ne devrions-nous pas chercher à mieux se connaitre ? Entrer en dialogue avec soi-même ?

C’est peut-être ça la paix intérieure… cohabiter avec soi-même. Être dissonant.

Ne pas y penser, Anonyme, Bruxelles

Le sens de la vie, c’est de ne pas y penser. Parce que vivre, c’est une action, un verbe au présent. Ce n’est pas quelque chose d’abstrait auquel on peut s’agripper quand les émotions nous submergent.

Le sens de la vie, c’est quand même de se sentir bien. C’est de ne pas passer de temps à vouloir prouver ses mérites ou ses propres qualités. S’il y a une chose à performer qui en vaille la peine, c’est l’affection qu’on a pour les autres. Ça fait du bien.

Une phrase réelle, Raphaël, 14 ans, Verviers

J’ai une phrase réelle. On n’arrive pas dans un pays pour le temps, mais pour la culture.

Ça veut dire qu’on aime quelqu’un non pas pour sa façon de s’habiller ou son physique, mais pour le comportement qu’il a envers les autres et soi.

Les personnes méchantes, on peut croire qu’elles méritent de subir des harcèlements ou de se faire insulter, mais c’est faux. Elles ont juste besoin d’aide.

La norme, Léa, 14 ans, Verviers

« Pour moi, être différent, c’est être spécial ».

On a tort sur ce point car on est tous, au moins, un peu différents. On ne peut pas imiter quelqu’un à la perfection et même si on est pareil de l’extérieur, à l’intérieur, c’est différent. On a des passions ou des goûts différents.

Soit on peut être très différent, soit on peut l’être un peu. Mais être différent, ça ne rend pas spéciale la personne qui un peu plus différente que la moyenne. Être différent, ce n’est pas être spécial. Pour moi, être différent, c’est la norme.

Auteurs/es : Anonymes, Gaëlle, Raphaël, Léa

CES PETITS AVIS ONT ÉTÉ PRODUITS LORS DE DIFFERENTS ATELIERS SCAN-R.

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Les figures de l’ombre, hier et aujourd’hui

Les Figures de l’Ombre, ce film est sorti en 2016. Il met en avant les femmes calculatrices afro-américaines qui ont contribué aux programmes aéronautiques et spatiaux de la NASA.

Tirée de faits réels, cette histoire s’est déroulée dans les années 1960. 3 mathématiciennes afro-américaines ont travaillé pour calculer les trajectoires et paramètres des vols de la fusée pour le décollage du célèbre astronaute John Glenn.

La NASA reconnaît la contribution cruciale de l’équipe de mathématiciennes concernant le vol de l’astronaute John Glenn car avant son vol, il a demandé à ces 3 femmes de refaire le calcul pour le décollage. Il avait juste confiance en elles. Finalement, les calculs étaient bons, du coup, il a pu faire son vol pour l’espace.

Ce qui marquait dans ce film, c’est la scène où l’une des femmes a vécu du racisme. Elle n’avait pas le droit d’aller dans les toilettes qui étaient à la NASA car elle était « noire ». C’était accessible qu’aux femmes « blanches ». Donc elle devait marcher pendant plus de 10 minutes pour accéder à des toilettes, en dehors de la NASA.

Je conseille ce film à toutes les personnes qui se sentent intéressées par le sujet. Je souhaite que son créateur continue ce genre de film qui sensibilise beaucoup de personnes.

Est-ce que les toilettes séparées entre les Blancs et les Noirs vont revenir ?

Moi je pense qu’avec des dictateurs comme Donald Trump, il y a moyen. En 2019, le politicien attaquait 4 élues démocrates issues de minorités dans une série de tweets. En juillet de la même année, elles se défendaient. Fin de l’histoire ? Bien sûr que non. Donald Duck avait appelé les élues démocrates à retourner dans « ces endroits totalement défaillants et infestés par la criminalité dont elles viennent », ne respectant pas la communauté afro-américaine.

Auteure : Berfîn, 18 ans, Liège

CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.

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Je rêve de devenir réalisateur

Je rêve de devenir réalisateur

Mon plus grand rêve, c’est être réalisateur.

J’aimerai créer une production qui vivra éternellement, qu’on n’oubliera pas ou qu’on pourra retrouver facilement. Qui pourra servir pour la suite.

Être réalisateur pour moi, c’est beaucoup de choses. Transmettre des messages et rassembler les gens. C’est montrer qu’on peut accomplir de grandes choses avec peu de moyen, mais beaucoup de volonté.

Être réalisateur, c’est s’entourer d’une équipe soudée en qui j’ai confiance et qui me font confiance. C’est partager un rêve. Un rêve qui prend vie au fil des réunions et des tournages.

Réaliser un film, c’est long et fatiguant. C’est passer des soirées à préparer des tournages. Ce sont des moments de doute et de solitude. Mais à la fin, qu’est-ce qu’on est fier des résultats obtenus et surtout du travail d’équipe. Qu’est-ce qu’on est fier quand le film est projeté et partagé à un public.

Auteur : Blaise, Bruxelles

Ces récits ont été produits lors d’un atelier Scan-R.

Retrouvez ce récit et d’autres dans notre dossier thématique

L’humain et les chiffres

L’humain et les chiffres

Attention spoiler minimisé. Le Nombre 23 nous raconte comment la croyance en la numérologie peut impacter la vie d’une personne. On s’est tous déjà demandé par exemple quel était notre nombre fétiche ? Celui qui nous représenterait, et qui nous porterait chance. Ça part innocemment d’un nombre porte-bonheur joué au Lotto à une croyance en ces nombres à tel point qu’on se demanderait s’il n’y aurait pas une explication logique à tout ça. Pourquoi sentons-nous ces nombres nous suivre ? Ce qui peut vite se changer en obsession : « Ça fait trois jours que je vois l’heure 23h23, un ange gardien essaye de me dire quelque chose ! » Voilà dans quoi nous embarque Le Nombre 23. Ce film se base sur des superstitions auxquelles beaucoup de gens sont attachés, cependant ça peut vite tourner au malsain, voire devenir carrément psychotique. Je ne conseille en aucun cas ce film aux personnes superstitieuses ou sensibles, les sujets abordés dans le film ne leur ferait que du mal.

Pour ce qui est des plus courageux : imaginez un seul instant que vous vivez avec insouciance votre vie. C’était le cas du héros, Walter Sparrow, il est travailleur à la fourrière. Alors qu’il terminait sa journée, il est retombé sur ce chien fougueux insaisissable, Ned se lisait sur son collier. Ce qui a valu le retard de Walter à son rendez-vous en tête-à-tête avec sa femme, Agatha, pour fêter son anniversaire. Sa femme en a profité pour se rendre à la librairie d’à côté pour lire un livre. Son mari l’a retrouvée avec un livre rouge à la main, et c’est comme ça que commence l’histoire. Parce qu’elle trouvait que le livre correspondait bien à Walter, Agatha le lui a spécialement recommandé. Alors le soir même, ne sachant pas dormir, il se décida à lire le livre Le Nombre 23. Petitou était le héros de ce livre et il racontait avec précisions chaque détail, chaque instant de son enfance. Walter n’eut aucun mal à s’y reconnaître. Alors il décide d’en parler à sa femme, il lui raconte ses impressions et ses doutes, comment un livre peut autant décrire un lien avec les animaux des voisins qu’on a côtoyé, des souvenirs d’enfances et anecdotes uniques à Walter, tout en sachant que l’auteur du livre a vécu dans le même quartier ?! Et ce nombre, pourquoi est ce qu’il se présente maintenant ? N’étant pas convaincu par les arguments sceptiques de sa femme, il cherche alors des preuves affirmant que l’auteur le connaît. Son fils Robin se laisse aussi tenter par son délire du style : habiter rue xxx au numéro 23, être né le 20 mars (20/03 —> 20 + 3 = 23), ou même en 1994 (1+9+9+4=23) votre plaque d’immatriculation comporte le nombre 23, etc. Et dans le film, le nom Walter Sparrow commence et se termine par la lettre W, étant la 23e lettre de l’alphabet. Et pas besoin d’aller chercher loin, l’introduction du film nous introduit déjà tout cet univers gravitant autour du chiffre 23.

En bref, il approfondit ces recherches sur le livre, et il rêve chacun de ces passages, qui paraîtront dans le film en tant que scènes mystérieuses, perverses et énigmatiques, avec cette allure des vieux films en noir et blanc policiers du détective et des suspects.

Cependant le film ne s’arrête pas qu’à là : Il y a beaucoup de coups de théâtre (en gros des retournements de situations qui changent toute notre perception du film et son histoire comme on s’imaginait au début), du suspense et des situations assez particulières (le film est interdit aux moins de 18 ans car on y voit du sang, des délires maso, des thèmes psychiatriques abordant le suicide, la folie, l’exclusion sociale,…) à s’en retourner le cerveau. Personnellement, beaucoup de choses m’ont dérangé dans ce film. On a d’abord une ambiance anxiogène qui se dégage du film, on ne se sent pas vraiment profiter du film et ce, car, au fur et à mesure que Walter lit le livre, les événements s’enchaînent l’un après l’autre sans qu’il n’y ait une pause pour nous laisser respirer et emmagasiner les infos, mais aussi pour que le héros puisse potentiellement prendre du recul sur sa situation. A se demander s’il ne baigne pas en plein délire. Car il craint lui-même d’assister à tout ce qui s’est passé dans le livre, le suicide de la femme, le meurtre de sa propre femme suite aux délires sexuels, car non seulement Walter s’identifie aux passages du livre, mais en plus les émotions qu’il y ressent lui sont très familières. Il craint sa personne, il craint de blesser quelqu’un, et ce depuis qu’il a rendu visite à Pink, une femme blonde comme celle décrite dans le livre. Par ailleurs, elle aussi croyait que son chiffre la pousserait à faire ce que son père a fait quand elle était encore qu’une enfant. Son père a tué la mère de Pink avant de se suicider en maudissant le chiffre qui le suivait lui aussi, il jura avant sa mort que sa lignée sera sauve et pourra vivre sans la peur du chiffre. Or, partout où Pink se rendait, c’est comme s’il était déjà écrit dans sa destinée qu’elle emprunterait ces chemins, ces choix. Très réconfortant ! Du coup, Walter redoute de tuer sa femme Agatha dans son lit en se réveillant, depuis qu’il a découvert un drôle de fait dans la garde-robe de son épouse, la même description que celui du livre. Disons que c’était pour vérifier si le livre était fiable, malheureusement pour lui, oui.

Et plus on avance, plus on sent qu’on est sur une affaire sérieuse, on se plonge plus profondément dans d’autres délires criminels. Au moins, ça va crescendo. On ne parle plus du livre (qui n’a pas été achevé, la fin n’est pas écrite, du moins dans le livre, d’ailleurs à propos du livre, aucun bibliothécaire ne reconnaît le livre, comme si le livre était apparut tout seul, en plus d’être unique). On aborde désormais le destin de Walter et son passé. Le chien, celui que Walter, n’a pas trop réussi à attraper tant il était intelligent, est déjà un élément important dans le film. Vraiment, et c’est intéressant car, sans vous spoiler, vous saurez peut-être deviner la fin du film, rien qu’en ayant comme informations : les délires malsains masochistes que partageait Petitou avec une amante qu’il a tuée, le chien qui ne cesse de revenir vers Walter mais qui s’en sort toujours. En ajout à l’obsession que porte Walter pour le chiffre 23 en plus du nom du chien, Ned, qui forme le nombre 23 (N=14 + E=5 + D=4).

Enfin, le scénario ne nous aide pas vraiment à nous détacher de cette sensation de décalage. On se sent facilement dépassé par toutes ces infos qui viennent nous bombarder l’esprit en continu. On en découvre toujours plus, on se sent assommé. N’empêche, pour ceux qui sont fascinés les thrillers, les films de crime, ça ne poserait aucun souci pour eux de remarquer des détails furtifs au début du film, qui révèlent déjà une partie de l’intrigue.

Finalement, je n’ai pas tellement aimé les tournures que le film a pris. C’était intéressant mais les délires morbides, psychopathes, ne sont pas trop mon genre de film.

Auteure : Anonyme, 16 ans, Liège

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Matez La Haine

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La Haine, film sorti en 1995 par Mathieu Kassovitz, est aujourd’hui considéré comme un grand classique du cinéma français. Aujourd’hui encore, avec la tension qui règne en Belgique et en France, les émeutes et la violence policière sont plus que jamais d’actualité.

Ce film est un choc et Kassovitz nous montre, dans sa subjectivité, ce que de nombreuses personnes ne veulent pas voir. Malgré les rares dialogues, La Haine est un des premiers films à laisser entendre les cris de tous les laissés-pour-compte des banlieues françaises. A côté de ça, les plans sont merveilleusement bien filmés et sont presque poétiques, ce contraste est parfaitement filmé et exploité.

Je conseille ce film à tous ceux qui ne l’ont jamais vu comme ceux qui l’ont vu une centaine de fois. On se demande, en 2024, comment ce film après 30 ans, peut toujours être d’actualité ?

Auteure : Margot, 16 ans, Liège

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