La valeur liberté

La valeur liberté

Au niveau individuel

Je pense que la valeur de la liberté est importante dans ma vie car j’aime me sentir libre de faire ce que je veux sans contrainte. J’ai eu la chance de vivre dans une famille qui m’a toujours poussé à faire ce que je voulais faire. Ma mère et mon père m’ont toujours montré qu’ils avaient confiance en moi. Je n’ai jamais eu l’impression de devoir me restreindre ou m’empêcher de faire des choses dont j’avais envie. Après, je sais que nous ne sommes jamais entièrement libres et que notre liberté s’arrête où commence celle des autres. Mais au quotidien, j’aime me dire que je suis libre de mes choix. Donc oui c’est important pour moi d’évoluer dans un environnement où je me sens libre et sans contrainte. Je pense que le contraire me frustrerait énormément.

Au niveau de la société

La liberté est une valeur importante au niveau de la société dès lors que je ne souhaiterai pas vivre dans un pays dirigé par une dictature. Je pense qu’il est important de laisser une certaine spontanéité aux citoyens et citoyennes. De ne pas les enfermer dans des moules. Cependant, une liberté totale n’est selon moi pas possible. Je ne désire pas vivre dans un monde sans loi. Une liberté totale reviendrait à vivre dans un monde sans délimitation. Or, sans règle, sans cadre, on n’y comprend plus rien. Donc pour vivre en harmonie les uns avec les autres, il est important d’établir des limites à notre liberté. Soyons libres d’êtres nous-mêmes et de nous émanciper au sein même de cette délimitation. Nous sommes plus de 8 milliards sur cette Terre et pour cohabiter je pense qu’il est important d’être encadré. Nous avons la chance de pouvoir ressentir un sentiment de liberté même si, au final, nous ne le sommes pas totalement. Nous sommes des poissons qui naviguons dans la délimitation de l’océan.

Auteure : Eloïse, 21 ans, Liège

CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.

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Attention spoiler minimisé. Le Nombre 23 nous raconte comment la croyance en la numérologie peut impacter la vie d’une personne. On s’est tous déjà demandé par exemple quel était notre nombre fétiche ? Celui qui nous représenterait, et qui nous porterait chance. Ça part innocemment d’un nombre porte-bonheur joué au Lotto à une croyance en ces nombres à tel point qu’on se demanderait s’il n’y aurait pas une explication logique à tout ça. Pourquoi sentons-nous ces nombres nous suivre ? Ce qui peut vite se changer en obsession : « Ça fait trois jours que je vois l’heure 23h23, un ange gardien essaye de me dire quelque chose ! » Voilà dans quoi nous embarque Le Nombre 23. Ce film se base sur des superstitions auxquelles beaucoup de gens sont attachés, cependant ça peut vite tourner au malsain, voire devenir carrément psychotique. Je ne conseille en aucun cas ce film aux personnes superstitieuses ou sensibles, les sujets abordés dans le film ne leur ferait que du mal.

Pour ce qui est des plus courageux : imaginez un seul instant que vous vivez avec insouciance votre vie. C’était le cas du héros, Walter Sparrow, il est travailleur à la fourrière. Alors qu’il terminait sa journée, il est retombé sur ce chien fougueux insaisissable, Ned se lisait sur son collier. Ce qui a valu le retard de Walter à son rendez-vous en tête-à-tête avec sa femme, Agatha, pour fêter son anniversaire. Sa femme en a profité pour se rendre à la librairie d’à côté pour lire un livre. Son mari l’a retrouvée avec un livre rouge à la main, et c’est comme ça que commence l’histoire. Parce qu’elle trouvait que le livre correspondait bien à Walter, Agatha le lui a spécialement recommandé. Alors le soir même, ne sachant pas dormir, il se décida à lire le livre Le Nombre 23. Petitou était le héros de ce livre et il racontait avec précisions chaque détail, chaque instant de son enfance. Walter n’eut aucun mal à s’y reconnaître. Alors il décide d’en parler à sa femme, il lui raconte ses impressions et ses doutes, comment un livre peut autant décrire un lien avec les animaux des voisins qu’on a côtoyé, des souvenirs d’enfances et anecdotes uniques à Walter, tout en sachant que l’auteur du livre a vécu dans le même quartier ?! Et ce nombre, pourquoi est ce qu’il se présente maintenant ? N’étant pas convaincu par les arguments sceptiques de sa femme, il cherche alors des preuves affirmant que l’auteur le connaît. Son fils Robin se laisse aussi tenter par son délire du style : habiter rue xxx au numéro 23, être né le 20 mars (20/03 —> 20 + 3 = 23), ou même en 1994 (1+9+9+4=23) votre plaque d’immatriculation comporte le nombre 23, etc. Et dans le film, le nom Walter Sparrow commence et se termine par la lettre W, étant la 23e lettre de l’alphabet. Et pas besoin d’aller chercher loin, l’introduction du film nous introduit déjà tout cet univers gravitant autour du chiffre 23.

En bref, il approfondit ces recherches sur le livre, et il rêve chacun de ces passages, qui paraîtront dans le film en tant que scènes mystérieuses, perverses et énigmatiques, avec cette allure des vieux films en noir et blanc policiers du détective et des suspects.

Cependant le film ne s’arrête pas qu’à là : Il y a beaucoup de coups de théâtre (en gros des retournements de situations qui changent toute notre perception du film et son histoire comme on s’imaginait au début), du suspense et des situations assez particulières (le film est interdit aux moins de 18 ans car on y voit du sang, des délires maso, des thèmes psychiatriques abordant le suicide, la folie, l’exclusion sociale,…) à s’en retourner le cerveau. Personnellement, beaucoup de choses m’ont dérangé dans ce film. On a d’abord une ambiance anxiogène qui se dégage du film, on ne se sent pas vraiment profiter du film et ce, car, au fur et à mesure que Walter lit le livre, les événements s’enchaînent l’un après l’autre sans qu’il n’y ait une pause pour nous laisser respirer et emmagasiner les infos, mais aussi pour que le héros puisse potentiellement prendre du recul sur sa situation. A se demander s’il ne baigne pas en plein délire. Car il craint lui-même d’assister à tout ce qui s’est passé dans le livre, le suicide de la femme, le meurtre de sa propre femme suite aux délires sexuels, car non seulement Walter s’identifie aux passages du livre, mais en plus les émotions qu’il y ressent lui sont très familières. Il craint sa personne, il craint de blesser quelqu’un, et ce depuis qu’il a rendu visite à Pink, une femme blonde comme celle décrite dans le livre. Par ailleurs, elle aussi croyait que son chiffre la pousserait à faire ce que son père a fait quand elle était encore qu’une enfant. Son père a tué la mère de Pink avant de se suicider en maudissant le chiffre qui le suivait lui aussi, il jura avant sa mort que sa lignée sera sauve et pourra vivre sans la peur du chiffre. Or, partout où Pink se rendait, c’est comme s’il était déjà écrit dans sa destinée qu’elle emprunterait ces chemins, ces choix. Très réconfortant ! Du coup, Walter redoute de tuer sa femme Agatha dans son lit en se réveillant, depuis qu’il a découvert un drôle de fait dans la garde-robe de son épouse, la même description que celui du livre. Disons que c’était pour vérifier si le livre était fiable, malheureusement pour lui, oui.

Et plus on avance, plus on sent qu’on est sur une affaire sérieuse, on se plonge plus profondément dans d’autres délires criminels. Au moins, ça va crescendo. On ne parle plus du livre (qui n’a pas été achevé, la fin n’est pas écrite, du moins dans le livre, d’ailleurs à propos du livre, aucun bibliothécaire ne reconnaît le livre, comme si le livre était apparut tout seul, en plus d’être unique). On aborde désormais le destin de Walter et son passé. Le chien, celui que Walter, n’a pas trop réussi à attraper tant il était intelligent, est déjà un élément important dans le film. Vraiment, et c’est intéressant car, sans vous spoiler, vous saurez peut-être deviner la fin du film, rien qu’en ayant comme informations : les délires malsains masochistes que partageait Petitou avec une amante qu’il a tuée, le chien qui ne cesse de revenir vers Walter mais qui s’en sort toujours. En ajout à l’obsession que porte Walter pour le chiffre 23 en plus du nom du chien, Ned, qui forme le nombre 23 (N=14 + E=5 + D=4).

Enfin, le scénario ne nous aide pas vraiment à nous détacher de cette sensation de décalage. On se sent facilement dépassé par toutes ces infos qui viennent nous bombarder l’esprit en continu. On en découvre toujours plus, on se sent assommé. N’empêche, pour ceux qui sont fascinés les thrillers, les films de crime, ça ne poserait aucun souci pour eux de remarquer des détails furtifs au début du film, qui révèlent déjà une partie de l’intrigue.

Finalement, je n’ai pas tellement aimé les tournures que le film a pris. C’était intéressant mais les délires morbides, psychopathes, ne sont pas trop mon genre de film.

Auteure : Anonyme, 16 ans, Liège

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J’ai toujours cru en moi et mes capacités. Même si les gens me disaient que je n’y arriverais pas; pendant des années, je les ai crus, donc je me suis révoltée sur moi-même. J’ai laissé la peur m’envahir et envahir mes rêves. Envahir mes croyances.

Un jour, une personne me rappelait que la vie c’est moi-même qui la choisit avec mon cœur et mon âme. Petit à petit, j’ai commencé à refaire ce que j’aimais faire, à refaire ce que j’avais refoulé. Je me réfugiais dans ma chambre, je lâchais ce que je ressentais dans la peinture et le dessin. Petit à petit je reprenais confiance en moi, dans l’art. Les gens me disaient toujours la même chose et, petit à petit, je ne les écoutais plus et je faisais ce que j’aimais en cachette. Ils voyaient que je savais le faire et comme je réussissais, et bien, ils restaient bouches fermées.

Auteure : Oxana, 27 ans, Namur

Cet article a été produit lors d’un atelier Scan-R.

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J’ai toujours cru en Dieu

J’ai toujours cru en Dieu

J’ai toujours cru en Dieu.

Depuis petit, mes parents, ma famille et leurs entourages me parlent de Dieu, du prophète et du bien et du mal dans le coran.

J’emmagasinais tout cela, sans comprendre le sens, et puis on grandit et notre esprit et notre compréhension évoluent. Et j’observais les gens qui faisaient la prière, le ramadan, qui vont à la Mecque, etc.

Et moi dans ma routine, entre mes amis, école, jeux vidéo, sentant que je passais à côté de quelque chose.

Et puis le confinement et le temps de faire un point sur ma vie, ayant toutes les semaines de nouvelles morts, je m’interrogeais.

Me disant : mais si c’était mon tour, je finirais en enfer en passant à côté de ma vie.

Auteur : Anonyme, 29 ans, Bruxelles

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L’épreuve de l’authenticité

L’épreuve de l’authenticité

Aujourd’hui, est-il difficile d’être quelqu’un d’authentique ? A l’heure où les personnes ont tendance à tout codifier, à exposer leur vie pour un rien, à s’exprimer sans retenue, être authentique, c’est presque une épreuve. Comme si on ne savait plus se détacher de l’éducation de nos parents, de la voie à suivre, celle dictée par les écoles, politiciens ou autres moralisateurs de pacotille.

Chacun a sa définition de l’authenticité. Tant mieux. Je ne veux obliger personne à respecter un consensus sur le « comment qu’on doit se comporter ». Vous m’avez pris pour qui ? Je laisse l’art de convaincre aux Grand Illuminés de nos sociétés. Par contre, je peux énoncer ce qui, à mon humble avis, implique d’être authentique. Attachez votre ceinture. C’est parti ! L’authenticité implique un tas d’actions : ne pas endosser des couleurs politiques car on croit se situer dans le Camp du Bien, vivre en accord avec ses valeurs, se forger une opinion vierge de toute influence, etc.

Bref, je déteste celles et ceux qui jouent aux sourds et aveugles, ou les personnes faisant semblant d’être engagées, vives d’esprit… je ne suis pas pour autant pessimiste ! Je me dis qu’on évolue à divers moments de nos vies. On sera véritablement authentique à un instant précis de notre existence.

A écouter aussi en podcast ici

Auteur : Bruno, 26 ans, Liège

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