La liberté

La liberté

Qu’est-ce que la liberté ? Elle peut signifier tellement de choses.

La liberté c’est de pouvoir faire ses propres choix, choisir sa propre voie. La liberté c’est de pouvoir être libre de s’exprimer et de penser. La liberté c’est de pouvoir marcher dans la rue sans avoir peur et se sentir en sécurité ! La liberté c’est de pouvoir croire en ses rêves et avoir les moyens pour les réaliser. La liberté c’est de pouvoir vivre sa vie comme on le souhaite et n’avoir aucun regret.

On peut chacun avoir sa propre définition de la liberté mais malheureusement, cette liberté, tout le monde ne peut pas en bénéficier. La liberté devrait être un droit.

 

Auteure : Alexandra, 22 ans, Liège

CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.

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Avons-nous vraiment besoin d’un titre ?

Le scepticisme est-il bénéfique à la société wallonne au XXIe siècle ?

Qu’est-ce que le scepticisme ? C’est la remise en question, l’esprit critique. C’est le postulat qu’on ne peut être absolument sûr de la véracité d’une chose ou d’un énoncé et ce dans tous les sens.

Est-ce vrai ? Peut-on faire mieux ? N’allons-nous pas trop loin ?

On pourrait continuer comme ça des heures. Je résumerai donc ainsi : douter de tout systématiquement.

Jamais dans la Wallonie autant de jeunes n’ont été diplômés, jamais autant de thèses n’ont été défendues. Jamais les Lumières n’ont-elles été si rayonnantes.

Commençons néanmoins par les effets positifs. Douter de nous, nous a permis d’innover technologiquement. Internet, moteur à combustion et explosion, pénicilline, etc.

On compte des avancées sociales : libéralisme, éducation de masse, droits des femmes, fin du travail des enfants, libre-conscience, etc.
On note aussi l’augmentation significative du niveau et de l’espérance de vie, l’amélioration des soins de santé ou simplement l’accès aux soins.

Le plus impressionnant reste néanmoins la conquête spatiale. Nous doutions d’être capable de voler et aujourd’hui nous envisageons de coloniser Mars.

Tout ceci serait merveilleux si cela n’avait pas de coûts exorbitants. Vous l’aurez compris. Je vais traiter des défauts du scepticisme.

La richesse des opinions a exacerbé les tensions dans la société. Les démocraties deviennent ingouvernables et se font dépasser par des systèmes autoritaires comme la Chine ou la Russie. Il est très difficile, voire impossible, de former un gouvernement. Belgique, France, Espagne, Hongrie, etc.

Le progrès malheureusement, se fait aussi dans l’armement. Des pays dans le monde ont assez de bombes nucléaires pour exploser la planète plusieurs fois. Tout cela sans l’assurance que la menace de la destruction mutuelle provoque la paix si désirée.

Le capitalisme, grisé par les avancées technologiques, en vient à détruire la planète, renverser des gouvernements ou appauvrir des peuples pour son propre intérêt.

Enfin la liberté d’expression entraîne la diffusion et la défense d’idées mensongères au sein du public. Cela a des conséquences graves. Des gens en meurent. Je pense aux vaccins, au racisme, à la main invisible du marché, au racisme ou la religion.

Cela est-il pourtant un tort ? N’est-ce pas malgré tout important ? Je ne peux pas répondre à cette question. Tout ce que je sais c’est qu’il faut douter de tout donc aussi doutons du fait de douter de tout, doute, doute, doute.

Auteur : Anonyme, 24 ans, Liège

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Etre différent, c’est…

Etre différent, c’est…

Etre différent, c’est bien. Ca t’oblige à sortir de la zone de confort que la société tente de nous imposer. Comme ça, tu es réellement aimé pour qui tu es.
Après, c’est pas toujours facile car il faut se heurter aux regards des autres. Tu choisis toi-même de t’imposer des difficultés mais ce n’est pas grave car quand tu te démarques du troupeau, tu gagnes une certaine liberté. Tu peux être qui tu veux !

Une fois que tu t’es détaché du regard des autres, tu peux vivre ta vie tranquillement et moins de choses peuvent t’atteindre. Moi, je suis heureuse d’avoir fait ce choix parce que oui c’est un choix. Je me sens nettement mieux dans ma peau et j’ai une meilleure confiance en moi. Les gens me choisissent en connaissance de cause et j’ai un super entourage grâce à ça.

J’aurais pu faire un texte pour raconter toute ma vie mais je préfère inviter tout le monde à créer sa différence pour un monde plus diversifié. Petit conseil : faites attention à ne pas trop sortir des codes de la société quand même.

Auteure : Nox, 24 ans, Bruxelles

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Retrouvez ce récit et d’autres dans notre dossier thématique

Le sens de la vie

Le sens de la vie

Depuis petite, j’ai toujours suivi ce qu’on me disait de faire. Aller aux cours, rentrer à la maison, étudier, faire mes devoirs, me rendre à mes activités extra-scolaires. Tout s’enchaîne tellement bien quand on suit machinalement ce que la société veut que l’on fasse. Pourtant je sens, depuis toujours, une sorte d’ombre planer au-dessus de moi. J’ai pris du temps à comprendre ce que signifiait cette ombre qui pesait sur moi. Car honnêtement, je l’ai souvent ignorée car elle me faisait peur. Peur de ne pas comprendre ce qui ne me permettait pas de profiter pleinement de ma vie.

Et puis un jour, j’ai compris. La vie n’a pas de sens. Tout ce qui tourbillonne autour de nous n’existe pas vraiment. Les lois, la politique, les codes sociaux ont été créés de toutes pièces. On vit nos vies mécaniquement, on suit un schéma, et on ne sait même pas pourquoi. J’ai un toit, deux parents qui m’aiment, je mange à ma faim. Mais, je ne comprends pas le sens de la vie. Pourtant, en 20 ans d’existence, je l’ai déjà bien remplie ma vie. Escalade, théâtre, voyage, soirées, amitiés. J’en ai vécu des belles expériences, des belles rencontres. Mais malgré tout cela, l’ombre plane au-dessus de moi, il y a des jours où elle est plus opaque que d’autre et il y a des jours où elle devient tellement fine que je l’oublie.

J’ai donc une ombre qui vit en moi et je dois faire avec. Pour faire avec, j’essaie de de la comprendre, de l’apprivoiser. Que signifies-tu réellement petite ombre embêtante ? Tu es un peu comme un grand œil qui observe toute ma vie. Tu vois ce que je fais et tu te dis « à quoi bon, je vais mourir de toute façon ». Aaah c’est donc ça, madame l’ombre, tu es un signe avant-coureur que la vie a une fin. Essayons de passer outre. La vie a une fin donc la fin a une vie. Moi je vis. Je vais à l’université, je suis cheffe scoute, je fais partie d’une troupe de théâtre. Je fais tout cela car je vis. Même si, fondamentalement, je n’y vois pas de réel sens, toutes ces choses me permettent de vivre.

Et puis, je sais que je ne suis pas seule. Je sais que beaucoup d’humains ont leur propre ombre qui leur plane au-dessus de la tête. Et si notre but à tous était de combattre cette ombre ? Oui c’est cela le but de la vie ! Transpercer de plein fouet cette ombre par de nombreux rayons de soleil. Mes amis, mes parents, mes convictions éclairent cette surface sombre et lui laissent de moins en moins de place. Au plus je remplis ma vie, au plus je m’investis dans ce que j’entreprends, au plus je me mets à rayonner. Au cours du temps, j’apprends à vivre avec cette partie négative en moi, cette partie qui n’arrive pas à se raccrocher à un sens et au cours du temps, j’apprends aussi à profiter des beaux moments, à sauter de joie pour des banalités et à m’investir dans de beaux projets. Car, puisque la vie a une fin, je préfère bien la remplir. La remplir à l’aide de positif, tout en acceptant le négatif. Essayer de faire en sorte que mes pensées ne viennent pas tout bousiller. Je pense que c’est un peu ça le combat de chaque homme, combattre nos pluies intérieures à l’aide de rayons de soleil, afin de créer de beaux arcs-en-ciel. Car la vie est faite de nuance, même si je n’y vois pas toujours un sens, au moins je pense, je réfléchis, je me construits. J’évolue au cours du temps et quand mon ombre prend trop de place, je la regarde et la laisse repartir en me disant que s’il y a de l’ombre, c’est qu’il y a, quelque part, du soleil pour la créer.

Auteure : Eloïse, 20 ans, Bruxelles

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La neuroatypicité

La neuroatypicité

La neuroatypicité, vous demanderez, mais c’est quoi?  

Imaginez-vous dans un groupe d’individu dans lesquels vous connaissez seulement certaines personnes. Vous entamez une conversation sur un sujet qui vous tient à cœur, mais personne ne semble être réceptif, comme si vous étiez exclus volontairement du groupe; alors que la conversation continue à battre son plein sur d’autres sujets. Voilà comment je suis quand je dois essayer d’interagir avec les autres. Je me sens super vulnérable, gênée, anxieuse à l’idée que je ne puisse pas m’intégrer dans le groupe.

Il aura fallu presque 22 ans de vie pour qu’une neuropsychologue me diagnostique neuroatypique. Elle m’a permis de comprendre d’où pouvait venir mon hypersensibilité, mon angoisse, mes difficultés en math, autrement appelée dyscalculie, ainsi que mon manque de confiance et mes troubles relationnels. En apprenant la nouvelle, la première chose que j’ai faite, c’est appeler ma maman. Sa réaction n’était pas du tout étonnante, elle ne croyait pas à ce diagnostic. Les larmes me sont soudainement tombées des yeux, je ne pouvais plus rien contrôler. Peu de temps après, j’ai pris conscience de l’impact que ça allait avoir sur moi et sur mon futur. En réalité, pas grand-chose finalement. Ça m’a surtout permis de mettre des mots sur des pensées envahissantes.  

Ce diagnostic, ça a été le début de belles choses : une meilleure compréhension de moi-même que ce soit dans mes capacités ou dans mes faiblesses, un meilleur contrôle de mes émotions et actions, ainsi qu’une grande confiance en moi.  

Je ne dirais pas qu’il faut obligatoirement passer par un test psychologique et vérifié pour se rendre compte de ses différences. Mais ça peut en aider certains à se libérer d’un poids sur les épaules. Tout le monde n’a pas envie de se retrouver comme Atlas condamné à perpétuité à porter la Terre sur son dos. L’important, c’est de bien s’entourer de personnes bienveillantes qui t’acceptent comme tu es avec ou sans différence spécifiée et surtout que tu te sentes libre de vivre et de t’exprimer tel que tu es vraiment. C’est fini les faux semblants.

Auteur : Camille, 23 ans, Bruxelles

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