J’adorais ce que t’écrivais
J’adorais ce que t’écrivais. Je passais des nuits à mater ce que tu réalisais. Un jour, t’as vrillé. Pourquoi tu l’as violée ? Aujourd’hui je ne peux plus t’écouter. L’écoute consciente, ça, c’est du lourd.
Achète le dernier phone, il pèse une tonne de lithium, commande le jean à la mode, il vient de ton antipode. Ça pollue, c’est tragique d’utiliser des faux produits magiques. La consommation, ça, ce n’est pas du lourd.