D’une certaine façon, on peut trouver une « beauté » à la vie car malgré sa fatalité, on ne sait quand elle va s’achever. La vie est donc de ce fait à profiter car on ne sait quand elle va se terminer. Mais d’un autre côté, c’est quelque chose de très concret sur papier mais très imagé en vrai. Je dois avancer que malgré que j’admette cette inévitabilité, je ne peux pas me résoudre à toujours vivre à « 100% ». Pas parce que je ne veux pas mais car j’en suis incapable.
C’est donc, paradoxalement, seulement lorsqu’on sait que nos jours sont comptés qu’on se met à faire les choses qu’on n’aurait jamais osé faire. Je pense que si on devait faire face à une telle situation, toute personne chercherait à obtenir cette possibilité, pas forcément l’atteindre mais du moins s’en approcher. La paix intérieure est cependant relative et donc n’est guère synonyme à réaliser les choses les plus impensables. Pour certains, la paix est simplement de pouvoir être entouré par ceux qu’on aime et je pense que ça serait mon cas.
Auteur : Yuken, 17 ans, Bruxelles
CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.