Quand le vent souffle fort et que le ciel se ferme,
Quand la nuit semble longue, et le cœur, à l’extrême,
Rappelle-toi toujours, au plus creux de l’orage,
Que l’aube se prépare, cachée dans les nuages.
Même l’arbre courbé finit par se redresser,
Même la mer déchaînée finit par s’apaiser.
La douleur est un maître, la patience, un chemin,
Et l’espoir une flamme qui ne meurt que des mains.
Il suffit d’une étincelle au cœur de l’hiver noir,
D’un regard, d’un sourire, pour rallumer l’espoir.
Tu n’es jamais seul face au poids de la vie,
Chaque chute, chaque larme, construit ta survie.
Alors marche, avance, même un pas, même rien…
Le futur se construit, même au bord du chemin.
Et quand tu lèveras les yeux, un matin,
Tu verras… que la lumière n’était jamais loin.
Auteur : Richnel, 22 ans, Liège
CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.