On devrait toujours rester libre, fort, joyeux, positif et qui on est.
On ne dirait pas forcément, mais avec ces cinq adages, on construit les bases d’une vie saine et heureuse. On ne peut pas dire « Sois heureux », mais on peut faire des choses qui nous libèrent, affronter les épreuves pour être fort, profiter pour être heureux, relativiser pour être positif et apprendre des autres pour être soi-même.
Pourquoi la liberté ?
Parce qu’on ne peut pas vivre enfermé. Vous vous voyez, vous, vous lever tous les matins avec des pieds de plomb pour aller bosser ? Vous vous regardez dans le miroir en sachant que vous ne dictez pas vos actes ? Moi pas.
Pour ma liberté, je crée mon propre emploi.
Pourquoi la force, le courage ?
Parce qu’on ne peut nier nos blessures. Nous sommes constamment confrontés à des épreuves, des douleurs qui ne nous laissent pas indemnes. Nous souffrons tous, mais si on nie ou évite ces étapes, elles reviendront nous frapper d’une manière ou d’une autre.
Pour ma force, je consulte toutes les semaines. Et oui, c’est une force.
Pourquoi la joie ?
Parce que nous n’avons qu’une vie. C’est un cadeau. Peu importe qui nous l’a fait, on doit l’accepter et sourire. Car un sourire peut changer une journée, une vie. Contentons-nous de ce que nous avons pour illuminer le monde.
Pour ma joie, je m’entoure de ceux que j’aime.
Pourquoi la positivité ?
Parce qu’il y en a toujours. Chaque événement, même le plus dramatique, comporte des penchants positifs. Je ne dis pas qu’un décès est chouette, mais que certaines choses auraient pu encore moins bien se passer. Voir le positif amène la résilience, le pardon, des solutions, du mieux.
Pour ma positivité, je relativise et prend du recul.
Pourquoi être soi-même ?
Parce que nous sommes la seule personne à nous suivre du début jusqu’à la fin. Mais être soi est loin d’être aisé. On a l’impression de bien agir, mais nous comprenons nos erreurs, nos raisons, nos mécanismes seulement des mois après, des années ou jamais.
Peut-on seulement être un jour à 100% soi-même ? Ou sommes-nous en constante évolution ? Je ne sais pas. On peut se comprendre à travers les autres, prendre exemple, on peut les aimer et être aimé.
L’enfer, c’est les autres ?
Non.
Le paradis, c’est le Nous.
Alors, pour être moi-même, j’apprends.
A écouter aussi en podcast ici