Moi, j’aimerais que les futurs jeunes vivent selon eux, et pas selon les autres. J’aimerais que les jeunes puissent devenir ce qu’ils veulent, car ils le veulent. J’aimerais que les jeunes puissent chérir et apprécier la vie et leurs vies. J’aimerais qu’ils se trouvent eux-mêmes et qu’ils trouvent leur place dans la société. J’aimerais aussi qu’ils puissent révolutionner la société et ses codes.
J’aimerais beaucoup de choses…
Mais je sais que rien de tout ça ne sera fait. Rien de tout cela ne sera fait, car la pression laissée et alourdie par les générations précédentes est trop grande pour la génération future.
Cette génération qui a déjà du mal à trouver sa personne, ne pourra pas contenir cette pression, comme un ballon de baudruche rempli avec trop d’air.
Ce que j’aimerais laisser à la génération future, c’est l’espoir.
L’espoir de croire en tout, et en rien.
L’espoir qui rendra heureux, la génération pourrie dès l’enfance.
Auteur : Michel, Tontelange
CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.