Voici une bride quelque peu spontanée de mon ressenti face à la consommation, je dirai la surconsommation. Ce qui m’amène à parler de ça aujourd’hui, c’est en grande partie le sentiment que nous sommes emportés dans une rivière à fort courant, où plus nous avançons, plus nous emportons les débris qu’il y a sur notre chemin. Les mêmes débris qui, nous pensons, nous permettent de flotter, alors qu’en réalité nous avons pied.
Je regrette les dictats actuels qui nous enferment et nous font fermer les yeux sur l’essentiel. J’envie un monde qui ne serait pas stratifié en fonction de ce que nous possédons mais dans lequel nous serions tous liés par ses valeurs, ses ambitions et ses passions.
Auteure : Nour, 19 ans, Bruxelles
CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.