J’ai toujours anticipé la critique et imaginé que je devais être parfait, en tout temps, en tout lieu.
Montrer mes failles, c’est me montrer vulnérable. C’est laisser une porte ouverte à la moquerie. C’est laisser quelqu’un.e avoir du pouvoir sur moi. J’ai fini par me perdre dans cette peur. Ce besoin de contrôle constitue un frein dans mes rapports humains. Alors j’apprends à lutter. J’apprends à ne plus trop anticiper. A vivre avec l’autre sur un instant T.
Auteur : Anonyme, Verviers
CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.