L’envie de sortir de la pauvreté stimule davantage un individu ou un jeune qui s’y trouve au quotidien plutôt que pour un autre individu qui se contente de son confort.
La preuve en est que chaque jour l’actualité fait état des jeunes qui traversent le désert, la mer, pour fuir les conditions précaires qu’ils vivent dans leur pays d’origine. En effet, plusieurs d’entre eux sont issus de familles précaires mais se sont fixés pour objectif d’exceller malgré les difficultés de leur quotidien ou d’exercer un métier plein de sens (assistant social, médecin, avocat, etc.).
De ce fait, ils ont commencé à faire, se sont lancés, dans des petits boulots ou jobs pour se scolariser et étendre leur réseau social.
Ainsi, vivre dans la précarité n’est pas une fatalité mais accepter d’y rester serait comme si vous aviez abandonné la bataille de votre vie.
Auteure : Marie Hortence, 30 ans, Bruxelles
CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.