Une de mes plus grandes fiertés c’est d’avoir hérité du don pour les langues de ma maman mais un de mes plus grands regrets est qu’elle ne m’ait pas élevé avec.
Ce don m’a ouvert au monde et à son immensité et depuis tout petit je rêve d’en faire le tour.
A 5 ans, je parlais brésilien… Oui, oui, brésilien.
Du yaourt bien sûr, mais plutôt crédible dans ses sonorités.
Je me suis donc mis à rêver, plein d’innocence, de faire le tour du monde en parcourant chacune des rues de chacune des villes, chacun des villages, chaque chemin de terre, chaque centimètre de cette planète. Et quand j’aurai eu fini, je serai allé en visiter une autre.
Maintenant j’ai grandi mais ce rêve de tour du monde, plus réaliste, persiste et si je devais mourir bientôt, je m’y mettrais dès maintenant.
Auteur : Anonyme
CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.
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