Scan-R participe aux Assises de Woluwé. Dans quel but ? Donner la parole aux plus jeunes afin de contribuer à l’amélioration de la vie communale. Hanna et Basile se mettent alors dans la peau des professeurs pour expliquer leur enseignement.

Découvrir encore et encore, Hanna, 19 ans Bruxelles

Si j’étais prof, j’organiserais plus d’activités de découverte des métiers/professions. Je trouve que déjà, lorsqu’on nous demande ce qu’on veut devenir plus tard, c’est assez compliqué d’avoir son avis, sans être influencé par les autres. De plus, si on découvrait les métiers quand on est jeune, j’ai l’impression que ça ouvrirait notre curiosité sur des choses qu’on n’aurait peut-être pas découverts au quotidien.

En plus de cela, le respect et l’importance de chaque métier pourront être mis en valeur par des personnes qui sont dans le secteur. Et, peut-être, au sein de notre commune (pour qu’on y ait plus facilement accès) mais aussi en collaboration avec les autres communes pour rencontrer d’autres jeunes et d’autres métiers.

Enseigner « la vie », Basile, 13 ans Bruxelles

Moi, si j’étais prof, j’enseignerais « la vie », c’est-à-dire la politique, se trouver un bien, payer ses impôts, gagner sa vie, etc. Parce que c’est quand même plus utile que de savoir prouver que la racine carrée de deux est irrationnelle, via une démonstration d’une page. Et puis, si possible, faire ça en mouvement (rencontres, démonstrations…).

Auteurs : Hanna, Basile, Bruxelles

CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.

Retrouvez ce récit et d’autres dans notre dossier thématique