Les jeux vidéo sont au cœur des débats depuis leur existence, certaines personnes affirment qu’aucun bienfait n’y est à retenir. Et pourtant…
De nombreuses études scientifiques à ce sujet démontrent de nettes améliorations cognitives dans la vie des joueurs comme par exemple des réflexes plus rapides et précis, une façon de résoudre des problèmes logiques plus efficace et bien d’autres.
Souvent, les jv sont mal représentés par, assez ironiquement, des personnes qui n’y ont jamais touchés, ni joués, ni renseignés. C’est comme demander à la jeune boulangère du coin ce qu’elle pense de l’influence météorologique des barrages hydrauliques de grandes enseignes sur le climat, alors qu’elle ne sait même pas à quoi ça ressemble.
Pour la plupart, ces « racistes » des jv sont tout simplement mal renseignés, ce n’est pas en regardant BFMTV qu’on devient journaliste.
Ils recensent des comportements « violents » de la part des pratiquants, car c’est prouvé jouer à des jeux de tir donne une irrésistible envie d’écraser des femmes enceintes, qui d’après un certain journaliste, rapporterait plus de points.
Bref, de réelles habilités nouvelles et pratiques se développent au fil du temps grâce au jv, une bonne concentration, une envie, des passions.
Après, un argument qui revient souvent est celui que cela rend « addict », sauf que non, pas forcément, souvent on confond passion et addiction, car c’est évident, plus on passe de temps sur quelque chose, plus on est addict, allez dire ça aux gens qui travaillent 8h par jour dans un taf qui ne leur correspond pas et on verra s’ils sont addicts.
Auteur : Antonio, 17 ans, Verviers
CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.