Aller à contre-courant, sortir de sa zone confort, oser regarder ailleurs,… C’est un choix difficile de militer en 2024. Pour moi, c’est parti gagnant. Malgré les cernes, j’ai l’impression de retrouver du sens, des valeurs humaines (solidarité, partage,…) en me mobilisant pour un avenir meilleur.
Les centre fermés, trop peu connus, sont des prisons. Les murs nous empêchent de voir la réalité des centres. Les femmes, les hommes et les enfants n’ont rien fait de mal et sont les victimes d’une politique raciste et inhumaine basée sur l’exclusion de l’autre.
Auteure : Boni, 29 ans, Liège
CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.