Ce qui me désole le plus dans le cyberharcèlement, c’est l’acceptation du phénomène. Que ce soit au niveau individuel ou sociétal, une fois que nous ne sommes pas directement concernés par une cause, très peu de personnes s’y intéressent. On envisage la chose comme une fatalité, on invite même les victimes à se remettre en question, à « se faire petit » au lieu de tenter de traiter le fond du problème.
Je vous l’accorde, le fond du problème est sûrement enraciné et donc impossible à renverser dans l’immédiat, mais il faut reconnaitre que sans un début de mise en action, espérer un monde meilleur ne restera qu’un simple rêve.
Auteure : Anaïs, 20 ans, Liège
CET ARTICLE A ÉTÉ PRODUIT LORS D’UN ATELIER SCAN-R.